Agence des services frontaliers du Canada : Rapport financier trimestriel – Trimestre ayant pris fin le 30 juin 2023
Table des matières
- 1. Introduction
- 2. Faits saillants du trimestre et des dépenses cumulatives à ce jour
- 3. Risques et incertitudes
- 4. Changements importants à l'égard des opérations, du personnel et des programmes
- 5. Approbation par les cadres supérieurs
- 6. Tableau 1 : État des autorisations (non vérifié)
- 7. Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifié)
1. Introduction
Le présent rapport financier trimestriel a été produit conformément à l'article 65.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, sous la forme et selon les modalités prescrites par le Conseil du Trésor. Il s'inscrit en parallèle avec le budget principal des dépenses, le plan d'action économique (budget) du Canada pour , ainsi que le Plan d'intervention économique du Canada pour répondre à la COVID-19.
La raison d'être, le mandat, le rôle et les responsabilités essentielles de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC ou « l'Agence ») sont expliqués dans la partie III du plan ministériel et la partie II du budget principal des dépenses.
Bien que n'ayant pas subi d'examen ni d'audit externe, le présent rapport a été étudié à l'interne par le Comité ministériel de vérification.
1.1 Fondements de la présentation
La direction a produit le présent rapport selon la méthode de comptabilité axée sur les dépenses. L'état des autorisations (tableau 1) qui l'accompagne comprend les autorisations de dépenses accordées par le Parlement, ainsi que celles utilisées par l'Agence conformément aux budgets principal et supplémentaire des dépenses pour les exercices à et à . Le présent rapport emploie un référentiel à usage particulier, conçu pour donner les renseignements voulus sur l'utilisation des pouvoirs de dépenser.
Le gouvernement ne peut effectuer ses dépenses avant de les avoir fait approuver par le Parlement. Les autorisations prennent la forme, soit de limites annuelles approuvées par des lois de crédits, soit d'autorisations législatives pour les dépenses à des fins déterminées.
Lorsque le Parlement est dissous pour la tenue d'élections générales, l'article 30 de la Loi sur la gestion des finances publiques autorise le gouverneur général, sous certaines conditions, à donner un mandat spécial autorisant le gouvernement à retirer des fonds du Trésor. Un mandat spécial est considéré comme un crédit relatif à l'exercice au cours duquel il a été établi.
L'ASFC utilise la méthode de la comptabilité d'exercice intégrale pour la préparation et la présentation de ses états financiers annuels, qui s'inscrivent dans la reddition de comptes sur le rendement ministériel. Toutefois, les autorisations de dépenser votées par le Parlement utilisent encore une méthode de comptabilité axée sur les dépenses.
2. Faits saillants du trimestre et des dépenses cumulatives à ce jour
Nous allons voir ici les principaux facteurs qui expliquent l'augmentation ou la diminution nette des ressources disponibles pour l'année et des dépenses réelles pour le trimestre se terminant .
Description de l'image
Graphique 1 : Comparaison entre les autorisations budgétaires et les dépenses au et au (en milliers de dollars)
à | à | |
---|---|---|
Autorisations budgétaires | 2 344 086 | 2 717 868 |
Dépenses du trimestre se terminant | 524 417 | 571 325 |
2.1 Changements importants relatifs aux autorisations
Pour la période s'étant terminée , les autorisations conférées à l'ASFC sont réunies dans le budget principal des dépenses.
L'état des autorisations (tableau 1) montre au une augmentation nette de 373,8 M$ (15,9 %) des autorisations totales de l'Agence, soit 2 717,9 M$ par rapport aux 2 344,1 M$ notés au même trimestre l'année dernière.
Cette augmentation nette des autorisations disponibles se répartit comme suit : 349,0 M$ au crédit 1 (dépenses de fonctionnement) ; 9,4 M$ au crédit 5 (dépenses d'immobilisation); et 15,4 M$ en autorisations budgétaires, comme nous allons le voir.
Crédit 1 : Dépenses de fonctionnement
Le crédit 1 de l'Agence a augmenté de 349,0 M$ ou 17,8 % (sans compter les autorisations législatives) par rapport à la même période au dernier exercice.
En à , l'Agence dispose à son budget principal des dépenses de 2 307,6 M$, comparativement aux 1 958,6 M$ de à . De façon plus détaillée, les principales hausses sont les suivantes :
- 124,6 M$ pour moderniser les frontières canadiennes et y favoriser les voyages autant que le commerce;
- 57,4 M$ pour le système canadien d’asile et migration irrégulière;
- 40,9 M$ en report de financement aux exercices ultérieurs pour diverses démarches;
- 32,2 M$ pour le pont international Gordie-Howe;
- 25,3 M$ pour la réinstallation des réfugiés d'Afghanistan;
- 21,1 M$ pour les contrats de services nationaux de gardiens;
- 15,7 M$ pour la migration clandestine dans les Amériques;
- 11,0 M$ pour divers transferts;
- 8,0 M$ pour le cannabis au Canada;
- 5,7 M$ pour les entrées et les sorties;
- 5,5 M$ en rajustements de rémunération.
À l'opposé, les principales baisses ayant contribué à modifier les fonds de fonctionnement sont les suivantes :
- 2,0 M$ pour le projet des postes-frontière terrestres;
- 1,5 M$ pour la conduite sous l'effet de la drogue;
- 1,2 M$ pour l'automatisation du filtrage de sécurité;
- 1,0 M$ pour le cadre de contrôle des armes à feu au Canada.
Crédit 5 : Dépenses d'immobilisation
Le crédit 5 de l'Agence a augmenté de 9,4 M$ ou 5,4 % (sans compter les autorisations législatives) par rapport à la même période au dernier exercice.
En à , l'Agence dispose à son budget principal des dépenses de 182,5 M$, comparativement aux 173,1 M$ de à . La hausse des dépenses d'immobilisation se ventile comme suit :
- 39,0 M$ pour moderniser les frontières canadiennes et y favoriser les voyages autant que le commerce;
- 14,1 M$ pour le projet des postes-frontière terrestres;
- 10,3 M$ pour l'infrastructure frontalière (Lacolle);
- 8,8 M$ pour le pont international Gordie-Howe.
À l'opposé, les principales baisses ayant contribué à modifier les fonds d'immobilisation sont les suivantes :
- 38,3 M$ pour la Gestion des cotisations et des recettes de l'ASFC (GCRA);
- 10,4 M$ pour l'installation d'examen des conteneurs;
- 6,9 M$ pour le Programme de protection des passagers;
- 6,1 M$ pour les entrées et les sorties;
- 5,1 M$ en report de financement aux exercices ultérieurs pour diverses démarches.
Autorisations législatives budgétaires
L'autorisation législative de l'Agence pour le régime d'avantages sociaux des employés a augmenté de 15,4 M$ (7,2 %) par rapport au dernier exercice.
2.2 Explication des écarts majeurs par rapport au dernier exercice
Comme on le voit dans l'état des autorisations (tableau 1), les dépenses de l'Agence en cumul annuel au s'élèvent à 571,3 M$ en , contre 524,4 M$ en . Ce sont 46,9 M$ (8,9 %) de plus, explicables par les variations suivantes :
- Hausse de 44,6 M$ ou 9,7 % en dépenses de fonctionnement (crédit 1), qui s'expliquent surtout par 46,4 M$ de plus en dépenses diverses telles les services partagés de l'ARC pour les régions et le Manifeste électronique, d'autres services de consultation pour la GCRA, les logiciels pour le milieu de travail numérique ainsi que la protection des immeubles (services nationaux de gardiens). À cela s'ajoute une hausse de 18,2 M$ en primes de repas et régularisation des salaires, que viennent toutefois contrebalancer une baisse de 20,1 M$ en frais juridiques prépayés, en gestion de propriété pour l'infrastructure des bureaux d'entrée et en règlement de revendications, ainsi qu'une hausse des recettes.
- Baisse de 1,2 M$ ou 12,6 % en dépenses d'immobilisation (crédit 5), surtout pour l'expertise-conseil informatique relative à ArriveCAN.
- Hausse de 3,8 M$ en dépenses législatives.
Comme on le voit dans les dépenses budgétaires ministérielles par article courant (tableau 2), l'augmentation nette s'explique principalement par les variations suivantes :
- Hausse de 23,9 M$ en services professionnels et spéciaux – services de l'ARC dans les régions, services d'expertise-conseil pour p. ex. le Manifeste électronique.
- Hausse de 19,1 M$ en personnel – primes de repas, salaires et pensions.
- Hausse de 6,0 M$ en acquisition de matériel et d'outillage – logiciels, matériel informatique personnel, télécommunications; 3,7 des 6 M$ d'augmentation sont imputables au projet de milieu de travail numérique.
- Hausse de 3,9 M$ en transport et communications, pour les voyages et les radios mobiles.
- Hausse de 0,5 M$ en services publics, fournitures et approvisionnements pour des achats divers, y compris de papeterie.
- Hausse de 0,5 M$ à l'article Information, principalement pour les services professionnels en communications.
- Hausse de 0,4 M$ à l'article Location pour des logiciels et des immeubles.
- Baisse de 2,6 M$ en autres subventions et paiements, surtout en règlement de dommages et autres réclamations contre l'État.
- Baisse de 2,5 M$ en réparation et entretien, soit surtout en réparation de matériel informatique et de meubles de bureau ainsi qu'en projets touchant des installations sans tomber dans la catégorie des immobilisations; 1,3 des 2,5 M$ sont imputables au financement contrôlé pour la plateforme informatique nationale.
Graphique 2 : Comparaison entre les recettes nettes en vertu d'un crédit et les revenus perçus au et au (en milliers de dollars)
Description de l'image
Graphique 2 : Comparaison entre les recettes nettes en vertu d'un crédit et les revenus perçus au et au (en milliers de dollars)
à | à | |
---|---|---|
Recettes nettes en vertu d'un crédit | 24 030 | 24 030 |
Revenus perçus du trimestre se terminant | 3 587 | 6 140 |
Aux recettes prévues pour les ventes de services correspond le pouvoir de réaffectation. Les recettes des services facturés en cumul annuel ont augmenté de 2,5 M$ ou 71,1 %, par suite de la réouverture des frontières et de la reprise des voyages avec la levée des restrictions sanitaires (COVID-19).
3. Risques et incertitudes
Depuis le début de , le taux d'inflation annuel a grimpé à des niveaux qu'on n'avait pas vu depuis des dizaines d'années. Malgré des signes de plafonnement au T1 de à , des pressions à la hausse ont été exercées sur certains coûts. Combiné à l'exercice de recentrage des dépenses du gouvernement du Canada au cours des prochaines années, l'exposition de l'Agence aux risques liés à l'atteinte de ses objectifs en temps opportun et dans les limites des budgets alloués pourrait augmenter si elle n'est pas correctement atténuée.
Par exemple, l'Agence mène de front plusieurs projets majeurs d'infrastructures physiques et informatiques, dont beaucoup sont pluriannuels de nature et représentent des investissements massifs. Puisque l'ASFC dépend d'autres ministères et/ou d'intervenants externes pour mener à bien beaucoup de ces projets, le moindre retard dû à la pénurie de main-d'œuvre abordable à l'intérieur comme à l'extérieur de l'Agence pourrait être lourd sur ces projets majeurs. Même les retards les plus légers pourraient faire gonfler le coût des matériaux, marchandises et services achetés aux prix du marché.
Malgré tout, l'Agence a franchi avec succès les échéances de plusieurs projets majeurs en cours, et elle est en bonne voie de réussir également la prochaine série de produits livrables. Elle s'efforce d'atténuer les risques financiers par l'évaluation du risque envers ses projets, un contrôle régulier de ceux-ci, et des discussions régulières sur les questions budgétaires, le tout à la lumière de ses rapports trimestriels intégrés sur les projets.
4. Changements importants à l"égard des opérations, du personnel et des programmes
4.1 Cadres supérieurs clés
Minh Doan, dirigeant principal de l'information et vice président à la Direction générale de l'information, des sciences et de la technologie (DGIST), a quitté l'Agence pour se joindre au Secrétariat du Conseil du Trésor.
Darryl Vleeming a été nommé nouveau dirigeant principal de l'information et vice-président de la Direction générale de l'information, des sciences et de la technologie (DGIDT), à compter du .
Shirley Ivan a été nommée conseillère spéciale de la présidente et première vice présidente .
Jacques Cloutier, conseiller spécial de la présidente, a quitté l'Agence en prenant sa retraite de la fonction publique .
4.2 Activités
Les volumes de voyageurs continuent d'augmenter en cet été , le premier sans restrictions sanitaires depuis , les restrictions en question ayant été levées . Un nouveau programme des voyageurs « vérifiés » a été annoncé pour remplacer celui des voyageurs dignes de confiance dans l'optique d'une meilleure circulation. Les voyageurs admissibles (y compris les membres de NEXUS et de Global Entry) avec des privilèges choisis aux points de contrôle, tels celui de conserver ordinateur portable, gros appareils électroniques et liquides/gelées conformes dans les bagages de cabine, ou encore de ne pas avoir à retirer ses chaussures, sa ceinture ni sa veste (légère). Dès , plusieurs allées pour voyageurs vérifiés ont été ouvertes dans les aéroports internationaux suivants, y compris certaines pour les vols intérieurs : Vancouver, Edmonton, Calgary, Winnipeg, Toronto-Pearson, et Montréal-Trudeau.
L'Agence a été touchée par la grève de l'Alliance de la Fonction publique du Canada entre et , avec le retrait des services des groupes de négociation PA, SV, TC, et EB.
L'Agence gère un nombre important de projets de technologie de l'information (TI) en cours dont le budget dépasse 1 million de dollars.
5. Approbation par les cadres supérieurs
Approuvé par :
Erin O'Gorman
Présidente
Ted Gallivan
Vice-président exécutif
Ottawa, Canada
Date : Ted Gallivan (au nom d'Erin O'Gorman)
Jonathan Moor
Dirigeant principal des finances
Ottawa, Canada
Date :
6. Tableau 1 : État des autorisations (non vérifié)
Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le Note de tableau 1 (en milliers de dollars) |
Crédits utilisés pour le trimestre terminé le (en milliers de dollars) | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre (en milliers de dollars) | |
---|---|---|---|
Crédit 1 – dépenses de fonctionnement | 2 307 628 | 505 831 | 505 831 |
Crédit 5 – dépenses en capital | 182 508 | 8 786 | 8 786 |
Autorités législatives - régimes d'avantages sociaux | 227 732 | 56 933 | 56 933 |
Autorités législatives - remboursements de montants portés aux revenus d'exercices antérieurs | 0 | 10 | 10 |
Autorités législatives - dépenses des produits de la vente de biens excédentaires de l'État | 0 | -235 | -235 |
Autorisations budgétaires totales | 2 717 868 | 571 325 | 571 325 |
Autorisations non budgétaires | 0 | 0 | 0 |
Autorisations totales | 2 717 868 | 571 325 | 571 325 |
Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le Note de tableau 2 (en milliers de dollars) | Crédits utilisés pour le trimestre terminé le (en milliers de dollars) | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre (en milliers de dollars) | |
---|---|---|---|
Crédit 1 – dépenses de fonctionnement | 1 958 649 | 461 190 | 461 190 |
Crédit 5 – dépenses en capital | 173 061 | 10 051 | 10 051 |
Autorités législatives - régimes d'avantages sociaux | 212 376 | 53 094 | 53 094 |
Autorités législatives - remboursements de montants portés aux revenus d'exercices antérieurs | 0 | 3 | 3 |
Autorités législatives - dépenses des produits de la vente de biens excédentaires de l'État | 0 | 79 | 79 |
Autorisations budgétaires totales | 2 344 086 | 524 417 | 524 417 |
Autorisations non budgétaires | 0 | 0 | 0 |
Autorisations totales | 2 344 086 | 524 417 | 524 417 |
7. Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifié)
Montant pour l'exercice se terminant le Note de tableau 3 (en milliers de dollars) | Montant au cours du trimestre se terminant le (en milliers de dollars) | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre (en milliers de dollars) | |
---|---|---|---|
Dépenses | |||
Personnel | 1 725 966 | 460 892 | 460 892 |
Transport et communications | 93 052 | 12 339 | 12 339 |
Information | 3 113 | 1 249 | 1 249 |
Services professionnels et spéciaux | 551 358 | 79 294 | 79 294 |
Location | 19 004 | 1 943 | 1 943 |
Réparation et entretien | 49 263 | 2 335 | 2 335 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 39 888 | 3 791 | 3 791 |
Acquisition de terrains, de bâtiments et d'ouvrages | 74 508 | 762 | 762 |
Acquisition de matériel et d'outillage | 126 408 | 10 979 | 10 979 |
Paiements de transfert | 0 | 0 | 0 |
Autres subventions et paiements | 59 338 | 3 871 | 3 871 |
Dépenses budgétaires brutes totales | 2 741 898 | 577 455 | 577 455 |
Moins les revenus affectés aux dépenses | |||
Ventes de services | 24 030 | 6 140 | 6 140 |
Autres revenus | 0 | -10 | -10 |
Total des revenus affectés aux dépenses | 24 030 | 6 130 | 6 130 |
Dépenses budgétaires nettes totales | 2 717 868 | 571 325 | 571 325 |
Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le Note de tableau 4(en milliers de dollars) | Dépenses au cours du trimestre se terminant le (en milliers de dollars) | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre(en milliers de dollars) | |
---|---|---|---|
Dépenses | |||
Personnel | 1 628 214 | 441 747 | 441 747 |
Transport et communications | 52 038 | 8 416 | 8 416 |
Information | 2 000 | 755 | 755 |
Services professionnels et spéciaux | 514 156 | 55 380 | 55 380 |
Location | 6 240 | 1 522 | 1 522 |
Réparation et entretien | 51 623 | 4 817 | 4 817 |
Services publics fournitures et approvisionnements | 25 275 | 3 292 | 3 292 |
Acquisition de terrains de bâtiments et d'ouvrages | 26 361 | 607 | 607 |
Acquisition de matériel et d'outillage | 50 580 | 4 977 | 4 977 |
Paiements de transfert | 0 | 0 | 0 |
Autres subventions et paiements | 11 629 | 6 488 | 6 488 |
Dépenses budgétaires brutes totales | 2 368 116 | 528 001 | 528 001 |
Moins les revenus affectés aux dépenses | |||
Ventes de services | 24 030 | 3 587 | 3 587 |
Autres revenus | 0 | -3 | -3 |
Total des revenus affectés aux dépenses | 24 030 | 3 584 | 3 584 |
Dépenses budgétaires nettes totales | 2 344 086 | 524 417 | 524 417 |
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