Agence des services frontaliers du Canada Rapport financier trimestriel
Trimestre ayant pris fin le 30 septembre 2019
Table des matières
- 1. Introduction
- 2. Faits saillants du trimestre et des dépenses cumulatives à ce jour
- 3. Risques et incertitudes
- 4. Changements importants à l'égard des opérations, du personnel et des programmes
- 5. Approbation par les cadres supérieurs
- 6. Tableau 1 : État des autorisations (non vérifié)
- 7. Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifiées)
1. Introduction
Le présent rapport trimestriel a été produit conformément à l’article 65.1 de la Loi sur la gestion des finances publiques, sous la forme et de la façon prescrites par le Conseil du Trésor. Le rapport trimestriel devrait être lu en parallèle avec le Budget principal des dépenses, le Plan d’action économique du Canada 2018 (Budget de 2018) et le Plan d’action économique du Canada 2019 (Budget de 2019).
Pour obtenir de plus amples renseignement sur la raison d’être, les rôles et les responsabilités essentielles de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), veuillez consulter la Partie III Plan ministériel ainsi que Partie II du Budget des dépenses.
Le rapport trimestriel n’a fait l’objet d’aucun examen ni d’aucun vérification externe.
1.1 Fondements de la présentation
Le présent rapport trimestriel a été préparé en utilisant une méthode de comptabilité axée sur les dépenses. L’état des autorisations ci-joint (Tableau 1) inclut les autorisations de dépenser accordées par le Parlement à l’ASFC et celles que l’Agence a utilisées, conformément au Budget principal pour 2018 à 2019 et 2019 à 2020. Ce rapport financier trimestriel a été préparé en utilisant un référentiel à usage particulier conçu pour répondre aux besoins d’information financière à l’égard de l’utilisation des autorisations de dépenser.
Les dépenses du gouvernement doivent être autorisées par le Parlement avant qu’il ne puisse dépenser les fonds. Les autorisations sont données sous la forme de limites annuelles approuvées via des lois de crédits ou via des autorisations législatives pour des dépenses législatives autorisées pour des fins déterminées.
Lorsque le Parlement est dissous pour la tenue d’une élection générale, l’article 30 de la Loi sur la gestion des finances publiques autorise le gouverneur général, sous certaines conditions, à émettre un mandat spécial autorisant le gouvernement à retirer des fonds du Trésor. Un mandat spécial est considéré comme un crédit relatif à l’exercice au cours duquel il a été établi.
L’ASFC utilise la méthode de la comptabilité d’exercice intégrale pour la préparation et la présentation de ses états financiers annuels qui font partie du processus de rapport sur le rendement ministériel. Toutefois, les autorisations de dépenser votées par le Parlement utilisent encore une méthode de comptabilité axée sur les dépenses.
2. Faits saillants du trimestre et des dépenses cumulatives à ce jour
Cette section met la lumière sur les principaux facteurs qui expliquent l’augmentation ou la diminution nette des ressources disponibles pour l’année et les dépenses réelles pour le trimestre se terminant le .
2.1 Changements importants relatifs aux autorisations
Pour la période ayant pris fin le , les autorisations fournies à l’ASFC incluaient le Budget principal et les Conseil du Trésor a approuvé des mesures de 2019 de Budget. Pour la période ayant pris fin le , les autorisations fournies à l’ASFC incluaient le Budget principal et les Conseil du Trésor a approuvé des mesures de 2018 de Budget.
L’État des autorisations (Tableau 1) reflète une l’augmentation nette de 141,1 millions de dollars ou 6,5 % des autorisations totales disponibles de 2 313,1 millions de dollars au , comparativement à 2 172,0 millions de dollars au même trimestre l’an dernier.
Cette l’augmentation nette des autorisations totales disponibles découle de l’augmentation du crédit 1 – Dépenses de fonctionnement de 165,4 millions de dollars, de diminution du crédit 5 – Capital de 59,3 millions de dollars et de l’augmentation des autorisations législatives budgétaires de 35,0 millions de dollars, tel qu’énoncé ci-dessous :
Crédit 1 : Dépenses de fonctionnement
Le crédit 1 Dépenses de fonctionnement de l’Agence ont augmenté par 165,4 millions de dollars ou 9,6 %, ce qui est principalement attribuable à l’effet net des éléments importants suivants (Excluant les autorités statutaires) :
Les augmentations sont principalement attribuées a :
- 245,2 millions de dollars comme décrit dans le Rapport financier trimestriel de l'ASFC pour le trimestre ayant pris fin le ;
- 0,5 millions de dollars pour les initiatives à l’échelle du gouvernement et la migration de la charge de travail.
Les diminutions sont principalement attribuées a :
- 59,0 millions de dollars comme décrit dans le Rapport financier trimestriel de l'ASFC pour le trimestre ayant pris fin le ;
- 21,3 million de dollars pour un plus petit report de fonds non utilisés, dont la majeure partie est engagée pour les priorités de l’Agence.
Crédit 5 : Capital
Le crédit 5 Dépenses en capital de l’Agence a diminué par 59,3 millions de dollars ou 22,8 %, ce qui est principalement attribuable à l’effet net des éléments importants suivants :
Les augmentations sont principalement attribuées a :
- 23,4 millions de dollars comme décrit dans le Rapport financier trimestriel de l'ASFC pour le trimestre ayant pris fin le ;
- 13,0 millions de dollars augmentation est attribuable à un plus grand report de fonds non utilisés, dont la majeure partie est engagée pour les priorités de l’Agence.
Les diminutions sont principalement attribuables à :
- 95,7 millions de dollars comme décrit dans le Rapport financier trimestriel de l'ASFC pour le trimestre ayant pris fin le .
Autorisations législatives budgétaires
Les autorisations législatives de l’Agence reliées au régime d’avantages sociaux des employés ont augmenté par 35,0 millions de dollars ou 18,8 % par rapport à l’année précédente : 20,1 millions de dollars en nouveaux fonds reçus dans le cadre du Budget principal des dépenses 2019 à 2020 et une augmentation nette de 14,9 millions de dollars liées au changement du taux du RASE, qui est passé de 20 % à 27 % au cours de l’exercice 2019 à 2020.
2.2 Explications des écarts importants des dépenses par rapport à l’exercice précédent
Comme l’indique l’énoncé d’autorisation (Tableau 1), les dépenses de l’Agence pour le trimestre ayant pris fin le s’élevaient à 918,5 millions de dollars, comparativement à 1 056,0 millions de dollars pour le trimestre se terminant le . Les diminutions de 137,4 millionsNote de bas de pages 1 de dollars ou 13,0 % est surtout attribuable aux facteurs suivants :
- Une diminution de 148,9 millions de dollars ou de 15,8 % du cumul des dépenses à la fin du trimestre pour le crédit 1 : Dépenses de fonctionnement (790,8 millions de dollars par rapport à 939,7 millions à la même période au cours du dernier exercice). La différence entre les dépenses est en grande partie attribuable à une diminuation des dépenses liées au personnel en raison de la ratification de la convention collective des agents des services frontaliers au cours du deuxième trimestre de l’exercice 2018 à 2019;
- Une augmentation de 1,3 millions de dollars ou de 40 % du cumul des dépenses à la fin du trimestre pour le crédit 5 : Dépenses en capital (32,3 millions de dollars par rapport à 31,1 millions de dollars à la même période au cours du dernier exercice). L’augmentation des dépenses s’explique essentiellement par le recours aux services de conseillers en TI pour faire progresser le projet de Gestion des cotisations et des recettes de l’ASFC (GCRA);
- Une augmentation de 10,2 millions de dollars des dépenses législatives.
Les dépenses budgétaires ministérielles par article courant (Tableau 2) indiquent les écarts les plus importants par article courant suivants :
- Une diminution de 159,5 millions de dollars en dépenses liées au personnel en raison de la ratification de la convention collective de la groupe des services frontaliers (FB) au cours du deuxième trimestre de l’exercice 2018 à 2019;
- L’augmentation de 14,3 millions de dollars est attribuable aux services professionnels et spéciaux en raison des frais des consultants en technologie de l’information et en gestion immobilière.
Les recettes prévues de la vente de services reflètent les autorisations de dépenser les recettes de l’Agence. Les revenus des frais pour les services perçus durant le trimestre ont augmenté de 2,1 million de dollars ou 22,0 % en raison de l’échéancier dans la collection de paiements et l’augmentation de volume des abonnés du programme Nexus.
Comparaison entre recettes nettes en vertu d’un crédit et les revenus perçus au et au
(en milliers de dollars)
3. Risques et incertitudes
L’environnement opérationnel changeant dans lequel évolue l’Agence la rend particulièrement sensible à des facteurs externes pour la plupart indépendants de sa volonté. Ces facteurs, réunis, peuvent avoir une incidence sur la capacité de l’organisme à adhérer à son plan financier annuel.
L’augmentation du nombre de demandes d’immigration à traiter, y compris le nombre de demandes d’asile et des activités d’exécution de la loi qui y sont liées, combinée à la hausse des expéditions issues du commerce électronique ont exercé des pressions supplémentaires sur les ressources. Le Budget de 2019 assurait un nouveau financement pour aider l’Agence à moderniser ses programmes, services et infrastructures en vue de répondre aux volumes accrus du secteur commercial et des voyageurs.
L’Agence est en voie de nationaliser les fonctions de ses services internes. La transition se fait en deux vagues. La première a eu lieu le , alors que les communautés des Communications, de la Gestion des biens immobiliers, de la Sécurité et des Ressources humaines ont commencé à faire rapport sur une base nationale. La deuxième vague, qui porte sur la nationalisation de l’Approvisionnement, de la Gestion de l’information, de la Technologie de l’information et de la Gestion du matériel, ainsi que sur des éléments des Finances, est prévue le .
L’Agence travaille à de vastes projets relatifs à la technologie de l’information (TI) et aux infrastructures matérielles. La plupart s’échelonneront sur plusieurs années et représentent des investissements considérables. En ce qui concerne la technologie de l’information, l’Agence soutient encore des services qu’elle prévoit supprimer progressivement en attendant la mise en œuvre des solutions organisationnelles à l’échelle du gouvernement, qui comprennent l’infonuagique et le stockage des données sécurisés.
Les retards peuvent poser des défis supplémentaires; l’établissement des coûts des projets ne tient pas compte de manière exacte des fluctuations des coûts des matériaux, des marchandises et des variations des prix en fonction du taux du marché. En outre, l’inflation fait gonfler les coûts des projets ayant été reportés ou retardés.
L’Agence s’efforce d’atténuer les risques financiers; elle évalue les risques associés à ses projets, mène des examens périodiques des projets et organise régulièrement des discussions portant sur le budget. L’Agence continuera à examiner sa base de ressources dans le but d’harmoniser ses opérations avec les priorités du gouvernement et des Canadiens.
4. Changements importants à l'égard des opérations, du personnel et des programmes
4.1 Cadres supérieurs clés
Le 6 août, Paul MacKinnon est devenu le nouveau Premier vice-président.
4.2 Opérations
L’Agence des services frontaliers du Canada a officiellement lancé son modèle de gestion fonctionnel amélioré. Celui-ci est entré en vigueur le . Dans le cadre de ce nouveau modèle, les vice-présidents des trois directions générales des secteurs d’activité (Voyageurs, Secteur commercial et Échanges commerciaux, et Renseignement et Exécution de la loi) sont responsables de la transformation, de la conception, de l’élaboration et de l’exécution de programmes, d’un océan à l’autre, de bout en bout, avec le soutien direct de toutes les régions. Ils sont les responsables fonctionnels des programmes, chargés d’orienter des projets de TI de grande envergure au sein de leurs secteurs fonctionnels, ce qui consiste en une pratique exemplaire de l’industrie qui, de surcroît, s’harmonise avec les autres ministères. La Direction générale de l’information, des sciences et de la technologie (DGIST) continuera de superviser les aspects techniques des projets en question. Les directeurs généraux régionaux (DGR) relèvent désormais directement des trois vice-présidents.
La Direction des services nationaux de gestion des biens immobiliers et des locaux (DSNGBIL) a achevé l’harmonisation nationale de ses ressources le . L’Agence pourra ainsi rendre opérationnelles ses priorités clés avec une efficacité accrue. En outre, la gestion des portefeuilles relatifs aux biens dont l’Agence a la garde, aux baux et à la législation s’en retrouvera améliorée, ce qui permettra aux directions de raffermir leur appui à l’égard de l’initiative de renouvellement de l’ASFC. Le modèle nationalisé est conçu de façon à soutenir une approche novatrice et cohérente à l’échelle nationale visant à moderniser l’infrastructure frontalière de l’Agence, et ce, en tirant profit de l’expertise régionale et nationale en matière de gestion de projets par la voie de la planification intégrée des investissements et des stratégies de surveillance axées sur les données. Afin de permettre à l’organisation d’être bien outillée pour gérer et soutenir l’évolution des demandes dynamiques de l’ASFC en matière de biens immobiliers, la DSNBIL s’affaire à élaborer un plan de perfectionnement professionnel qui ciblera précisément les compétences essentielles et l’ensemble des aptitudes requises, renforcera la planification de la relève et favorisera le transfert et le maintien des connaissances tout en présentant l’ASFC comme un employeur de prédilection.
De plus, à la suite de la décision relative au financement du Budget de 2019, la Direction a établi le cadre organisationnel nécessaire à la mise en œuvre des projets de remplacement des points d’entrée dans le cadre du Projet de passage frontalier terrestre.
L’harmonisation du portefeuille de gestion du matériel de l’Agence va bon train et devrait être achevée au printemps 2020.
4.3 Nouveaux programmes
Notre Agence souscrit à la vision du renouvellement de l’ASFC, conçu pour optimiser les possibilités offertes par la technologie et favoriser l’innovation, et ce, afin de permettre à nos agents d’être outillés pour fournir des services efficaces malgré les volumes sans cesse à la hausse et les menaces de sécurité en constante évolution. Pour appuyer le renouvellement de l’ASFC, l’Agence a mis sur pied un bureau de gestion du changement stratégique au sein de la Direction générale du dirigeant principal de la transformation en vue d’établir un soutien culturel pour la modernisation des procédés administratifs et d’accroître la capacité de l’Agence de mise en œuvre et d’adaptation au changement.
5. Approbation par les cadres supérieurs
Approuvé par :
John Ossowski
Président
Ottawa, Canada
Date: 29 novembre 2019
Jonathan Moor
Dirigeant principal des finances
Ottawa, Canada
Date: 26 novembre 2019
6. Tableau 1 : État des autorisations (non vérifié)
Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le * | Crédits utilisés pour le trimestre terminé le | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre | |
---|---|---|---|
Crédit 1 : dépenses de fonctionnement | 1 892 776 | 419 984 | 790 763 |
Crédit 5 : dépenses en capital | 199 453 | 22 059 | 32 311 |
Autorités législatives régimes d'avantages sociaux | 220 893 | 47 613 | 95 227 |
Autorités législatives : remboursements de montants portés aux revenus d'exercices antérieurs | 0 | 2 | 3 |
Autorités législatives : dépenses des produits de la vente de biens excédentaires de l'État | 0 | 187 | 218 |
Autorisations budgétaires totales | 2 313 122 | 489 845 | 918 522 |
Autorisations non budgétaires | 0 | 0 | 0 |
Autorisations totales | 2 313 122 | 489 845 | 918 522 |
Remarque: Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. * Comprend seulement les autorisations disponibles pour emploi et accordées par le Parlement à la fin du trimestre. |
Crédits totaux disponibles pour l'exercice se terminant le 31 mars 2019* | Crédits utilisés pour le trimestre terminé le 30 septembre 2018 | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre | |
---|---|---|---|
Crédit 1 : dépenses de fonctionnement | 1 727 323 | 613 553 | 939 699 |
Crédit 5 : dépenses en capital | 258 723 | 23 514 | 31 060 |
Autorités législatives : régimes d'avantages sociaux | 185 936 | 42 586 | 85 172 |
Autorités législatives : remboursements de montants portés aux revenus d'exercices antérieurs | 0 | 5 | 5 |
Autorités législatives : dépenses des produits de la vente de biens excédentaires de l'État | 0 | 11 | 20 |
Autorisations budgétaires totales | 2 171 982 | 679 669 | 1 055 956 |
Autorisations non budgétaires | 0 | 0 | 0 |
Autorisations totales | 2 171 982 | 679 669 | 1 055 956 |
Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. * Comprend seulement les autorisations disponibles pour emploi et accordées par le Parlement à la fin du trimestre. |
7. Tableau 2 : Dépenses ministérielles budgétaires par article courant (non vérifiées)
Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le * | Dépenses au cours du trimestre se terminant le | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre | |
---|---|---|---|
Dépenses | |||
Personnel | 1 714 656 | 373 541 | 737 508 |
Transport et communications | 44 707 | 11 249 | 22 367 |
Information | 15 450 | 101 | 937 |
Services professionnels et spéciaux | 273 719 | 79 393 | 124 725 |
Location | 7 254 | 4 238 | 5 060 |
Réparation et entretien | 41 782 | 4 432 | 9 514 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 13 253 | 3 516 | 5 210 |
Acquisition de terrains, de bâtiments et d'ouvrages | 92 758 | 10 310 | 11 660 |
Acquisition de matériel et d'outillage | 106 887 | 7 172 | 8 362 |
Paiements de transfert | 0 | 0 | 0 |
Autres subventions et paiements | 21 086 | 2 698 | 4 910 |
Dépenses budgétaires brutes | 2 331 552 | 496 650 | 930 253 |
Moins les revenus affectés aux dépenses | |||
Ventes de services | 18 430 | 6 807 | 11 734 |
Autres revenus | 0 | (2) | (3) |
Total des revenus affectés aux dépenses | 18 430 | 6 805 | 11 731 |
Dépenses budgétaires nettes totales | 2 313 122 | 489 845 | 918 522 |
Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. * Comprend seulement les autorisations disponibles pour emploi et accordées par le Parlement à la fin du trimestre. |
Dépenses prévues pour l'exercice se terminant le * | Dépenses au cours du trimestre se terminant le | Cumul des crédits utilisés à la fin du trimestre | |
---|---|---|---|
Dépenses | |||
Personnel | 1 472 106 | 576 828 | 897 044 |
Transport et communications | 52 447 | 11 545 | 20 435 |
Information | 8 677 | 102 | 283 |
Services professionnels et spéciaux |
310 146 | 73 063 | 110 454 |
Location | 7 965 | 2 176 | 3 318 |
Réparation et entretien | 36 572 | 4 196 | 8 033 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 23 972 | 3 087 | 4 957 |
Acquisition de terrains, de bâtiments et d'ouvrages | 115 990 | 10 475 | 11 782 |
Acquisition de matériel et d'outillage | 139 544 | 3 154 | 5 655 |
Paiements de transfert | 0 | 0 | 0 |
Autres subventions et paiements | 22 993 | 1 145 | 3 608 |
Dépenses budgétaires brutes | 2 190 412 | 685 771 | 1 065 569 |
Moins les revenus affectés aux dépenses | |||
Ventes de services | 18 430 | 6 107 | 9 618 |
Autres revenus | 0 | (5) | (5) |
Total des revenus affectés aux dépenses | 18 430 | 6 102 | 9 613 |
Dépenses budgétaires nettes totales | 2 171 982 | 679 669 | 1 055 956 |
Remarque : Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqué. * Comprend seulement les autorisations disponibles pour emploi et accordées par le Parlement à la fin du trimestre. |
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