Sélection de la langue

Recherche


Nous avons archivé cette page en ligne

Cette page est disponible uniquement comme référence. Les informations étaient exactes au moment de la publication mais pourraient ne plus refléter l'état actuel de l'Agence des services frontaliers du Canada. Elle n'est pas assujettie aux normes Web du gouvernement.

Information sur le contexte – Comité permanent de la santé : Situation d'urgence à laquelle les Canadiens font face avec la pandémie de la COVID-19 (21 mai 2021)

Survol du comité HESA

John Barlow

Affiliation politique : Conservateur

Circonscription : Foothills (Alberta)

Élu en : 2014, 2015 et 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé

Expérience au sein de comités : Nouveau membre du Comité permanent de la santé (octobre 2020); Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire (2017-2018, 2020); Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences et du développement social (2018-2019); Comité permanent des ressources naturelles (2016-2017); Comité permanent des affaires autochtones et du développement du Grand Nord (2014-2015).

Biographie : Avant d'être élu député, M. Barlow était journaliste. Il est membre de plusieurs organisations de la profession, dont les conseils consultatifs sur le journalisme du Southern Alberta Institute of Technology et de l'Université Mount Royal. Il a également été président des Foothills Highland Games et de la High Country Sports Facility Fundraising Society et vice président du Rotary Pub Club d'Okotoks et demeure membre du Rotary Club d'Okotoks et de la filiale d'Okotoks de la Légion royale canadienne. M. Barlow est un conférencier actif et bénévole dans sa collectivité de Foothills.

Intérêts du membre

À ce jour, M. Barlow s'est surtout intéressé à l'agriculture, au commerce international et aux questions liées au secteur de l'énergie.

Coronavirus (COVID‑19)
  • Lors du débat sur la motion de l'opposition du 22 octobre 2020, il a insisté auprès du gouvernement sur la stratégie de vaccination et de dépistage rapide : « Cependant, nous n'avons toujours pas entendu parler d'une stratégie sur l'accès à des vaccins et à des tests de dépistage rapide et sur la façon dont ils seront distribués ».
  • Lors du débat sur la motion de l'opposition du 22 octobre 2020, il a interrogé le gouvernement sur la production de tests rapides : « L'Allemagne, le Japon, l'Autriche et l'Islande utilisent tous une technologie des tests de dépistage rapide et ils réduisent la durée de la quarantaine pour que les entreprises restent ouvertes, tout comme les écoles, pour que les familles ne soient pas séparées […] Cependant, au Canada, nous sommes nettement à la traîne par rapport à d'autres pays. Nous utilisons la quarantaine de 14 jours que la plupart de nos partenaires n'utilisent pas. En fait, plus de 80 pays utilisent cette nouvelle technologie, mais le Canada n'en fait pas partie ».
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé le 4 décembre 2021, il a exprimé ses préoccupations au sujet des répercussions sur la santé mentale auxquelles font face les Canadiens et des répercussions supplémentaires des retards dans la réception des vaccins: « 40 % des Canadiens affirment que leur santé mentale s'est détériorée et qu'un Canadien sur 10 a des pensées suicidaires —, on constate que les retards sont lourds de conséquences ».
  • Le 22 janvier 2021, lors de la séance de questions et réponses de la Chambre de commerce d'Okotoks, il a dit qu'il était frustré par l'état d'avancement de la campagne de vaccination et a attribué les retards à l'échec de la collaboration du Canada avec la Chine pour produire un vaccin avec CanSino Biologics : « Bien sûr, le mois d'août frappe, aucun vaccin, l'accord s'effondre, la Chine a simplement dit “Non, nous en sommes loin, nous n'allons pas y arriver.” Nous avons donc dû commencer à nous débrouiller. Nous devions opter pour Pfizer, nous devions aller cogner à la porte d'AstraZeneca, nous devions solliciter ces autres sociétés. Nous avons donc été relégués en bas de la file. Ceux qui ont signé des accords des mois avant nous, bien sûr, reçoivent ces vaccins avant nous. » [traduction] https://www.okotoksonline.com/local/barlow-talks-pipelines-vaccines-and-restrictions-at-okotoks-chamber-q-a (en anglais seulement)
  • Lors d'une séance de discussion ouverte virtuelle, le 6 janvier 2021, il a dit que le retard avait considérablement fait reculer le Canada par rapport à d'autres pays du G7 comme les États‑Unis et le Royaume‑Uni, où l'on s'attend à ce que l'ensemble de la population soit vaccinée d'ici la fin du printemps. Il a ensuite ajouté qu'on ne s'attend pas à ce que la population canadienne générale soit vaccinée avant l'automne ni même au début de 2022. https://www.yorktonthisweek.com/agriculture/mp-barlow-discusses-covid-19-2021-federal-budget-farm-protection-during-virtual-town-hall-1.24267265 (en anglais seulement)
  • Lors de la même séance virtuelle, le 6 janvier 2021, il n'était pas d'accord non plus avec la tranche de la population que le gouvernement estimait prioritaire pour recevoir le vaccin, plus particulièrement les détenus dans les pénitenciers fédéraux. Les vaccins seront administrés aux détenus considérés comme à risque élevé, mais le fait qu'il y ait eu un peu plus de 1 100 cas et seulement 3 décès dans les prisons du pays lui indique que le plan du gouvernement présente des lacunes. https://www.yorktonthisweek.com/agriculture/mp-barlow-discusses-covid-19-2021-federal-budget-farm-protection-during-virtual-town-hall-1.24267265 (en anglais seulement)
Transferts en santé
  • Au cours du débat sur la motion de l'opposition du 22 octobre 2020, il a exprimé la nécessité d'étudier les transferts en santé relativement à la pandémie de COVID‑19 et aux soins de longue durée : « Ma circonscription est l'une de celles qui comptent le plus d'aînés au Canada. Par conséquent, la santé des aînés est d'une importance capitale pour les habitants de Foothills et moi. Bien sûr, nous voulons notamment veiller à ce que les provinces disposent des ressources nécessaires pour effectuer le travail qui relève de leur compétence. »
Santé mentale
  • Dans les médias, il a dit : « La santé mentale et l'anxiété chez les gens dans les collectivités rurales atteignent, à mon avis, un point critique, mais je crois qu'il est formidable que le gouvernement provincial ait pris des mesures pour corriger ces deux problèmes. Nous allons d'ailleurs essayer de faire de même à l'échelon fédéral et je présenterai un projet de loi d'initiative parlementaire pour régler le problème des intrusions sur les propriétés rurales et je le ferai au cours des prochains mois ». [traduction] Article de presse – The High River Times (23 janvier 2020) : https://www.highrivertimes.com/news/local-news/john-barlow-looks-whats-ahead-in-2020 (en anglais seulement).
  • Le 18 février 2020, M. Barlow a présenté le projet de loi C‑205 (Loi modifiant la Loi sur la santé des animaux), qui érigeait en infraction le fait d'entrer illégalement dans un lieu où se trouvent des animaux, et a dit ce qui suit : « je crois que mes collègues de la Chambre sont d'accord avec moi pour dire que les agriculteurs éprouvent beaucoup d'anxiété et vivent actuellement une crise de santé mentale ».
Biosécurité et risques biologiques
  • Le 18 février 2020, M. Barlow a présenté le projet de loi C‑205 (Loi modifiant la Loi sur la santé des animaux). Le projet de loi modifierait la Loi sur la santé des animaux pour ériger en infraction le fait d'entrer illégalement dans un lieu où se trouvent des animaux. Il a commenté dans les médias l'importance de présenter cette loi sur la biosécurité : « Elle est très importante pour les agriculteurs, vous ne voudriez que des maladies se transportent d'une ferme à une autre; beaucoup de ces manifestants et de ces auteurs d'intrusions ne comprennent pas les questions de sécurité liées à la biosécurité. Ce projet de loi d'initiative parlementaire modifiera donc la Loi sur Santé Canada ainsi que des parties du Code criminel canadien afin d'augmenter les amendes et de rendre illégal l'intrusion. » [traduction] En date du 7 octobre 2020, le projet de loi C‑205 est le 19eà l'ordre de priorité et devrait ouvrir la première heure de débat en deuxième lecture à la fin de novembre 2020. Article de presse – The High River Times (23 janvier 2020) : https://www.highrivertimes.com/news/local-news/john-barlow-looks-whats-ahead-in-2020 (en anglais seulement).

Don Davies

Affiliation politique : Nouveau parti démocratique (NPD)

Circonscription : Vancouver Kingsway

Élu en : 2008, 2011, 2015 et 2019

Rôle actuel : Porte parole en matière de santé

Expérience au sein de comités : Membre du Comité permanent de la santé depuis 2015

Biographie : Il a obtenu un baccalauréat ès arts en sciences politiques et un baccalauréat en droit de l'Université de l'Alberta. En 1992, il est devenu directeur des Services juridiques pour Teamsters Canada (section locale 31), poste qu'il a occupé jusqu'à son élection à la Chambre des communes en 2008. M. Davies représente la circonscription de Vancouver Kingsway depuis son élection aux élections fédérales de 2008. Il a été nommé porte parole du NPD en matière de santé pour les 42e et 43e législatures.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Le 22 octobre 2020, au cours du débat en deuxième lecture sur la motion portant production de documents devant le Comité permanent de la santé, il a déclaré : « Nous voulons des documents sur le système d'alerte rapide du Réseau mondial d'information en santé publique, les tests, l'équipement de protection individuelle, ainsi que le développement et la distribution de vaccins ».
  • Au cours de la période des questions du 6 octobre 2020, il a questionné le gouvernement sur l'accessibilité future d'un vaccin contre la COVID‑19 : « Hier, le gouvernement néo‑démocrate de la Colombie‑Britannique a annoncé que le vaccin contre la COVID‑19 sera offert gratuitement aux Britanno‑Colombiens. Le gouvernement du Canada va-t-il faire en sorte que tous les Canadiens soient vaccinés gratuitement contre la COVID‑19 une fois que le vaccin sera mis au point? »
  • Le 27 février 2020, au cours de la période des questions, il a demandé au ministre de la Santé d'accroître les mesures de protection pour les travailleurs de la santé de première ligne afin de prévenir la propagation.
  • Le 5 février 2020, lors de la comparution du ministère de la Défense nationale et de l'Agence de la santé publique du Canada devant le Comité permanent de la santé, il a demandé aux représentants :
    • Est-ce que l'augmentation du nombre de cas en Colombie‑Britannique change le plan du Canada?
    • La transmission asymptomatique change‑t‑elle le plan?
    • Les personnes infectées présentant des symptômes légers sont‑elles détectées?
    • Le Canada devrait‑il suivre les États‑Unis et refuser l'entrée aux non‑citoyens qui ont voyagé en Chine? Les citoyens qui ont voyagé en Chine devraient‑ils être mis en quarantaine de 14 jours?
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) devant le Comité permanent de la santé le 3 février 2020, il a demandé :
    • Pourquoi le Canada est‑il l'un des derniers pays à évacuer ses citoyens? Les relations tendues avec la Chine sont‑elles un facteur?
    • L'ASFC a‑t‑elle mis en place suffisamment de mesures de protection? A‑t‑elle recours au balayage thermique?
    • Quels types de mesures de soutien existent pour les Canadiens qui ne peuvent pas quitter la Chine?
  • Il a demandé au ministre de la Santé de révéler le « plan détaillé » et la façon dont le rapatriement des Canadiens de la Chine sera effectué (période des questions, 30 janvier 2020).
  • Le 29 janvier 2020, lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le Comité permanent de la santé, il a demandé aux représentants :
    • Quelle est la gravité du virus pour les personnes infectées? Quelle est la période d'incubation?
    • Quels tests pourraient être utilisés pour les personnes asymptomatiques?
    • Quelles sont les options de traitement?
    • D'autres pays ont‑ils mis des personnes en quarantaine pendant 14 jours?
  • Il a publié un communiqué de presse le 22 janvier 2020, dans lequel il a déclaré que « les cas internationaux du virus sont inquiétants pour les Canadiens » et que « le gouvernement fédéral doit s'assurer que les Canadiens disposent d'informations complètes et en temps opportun. Il doit également fournir des ressources suffisantes aux points d'entrée canadiens pour le contrôle, en particulier dans les aéroports. »
  • Il a poursuivi en déclarant que « les Canadiens attendent de leur gouvernement qu'il travaille en étroite collaboration » avec les provinces et territoires et les partenaires internationaux.
  • Le 22 janvier, il a écrit sur Twitter qu'il avait parlé avec le ministre de la Santé et qu'il était « heureux de voir une réponse rapide et complète du gouvernement et qu'il appréciait l'approche collaborative et coordonnée. J'espère que ce virus pourra être rapidement maîtrisé et traité efficacement. »
  • Le 26 janvier, il a écrit sur Twitter que « le NDP coopérera de toutes les manières possibles pour aider à assurer la sécurité des Canadiens ».
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la Santé le 23 juin 2020, il a demandé comment renforcer l'Organisation mondiale de la santé dans le contexte de la pandémie actuelle : « Compte tenu des enseignements tirés de la COVID‑19, quelles réformes vous paraissent nécessaires pour renforcer l'OMS? »
  • Le 3 décembre 2020, lors du jour réservé à l'opposition, il a demandé les détails du contrat d'approvisionnement en vaccins et de la stratégie de déploiement.
Accès à l'eau potable
  • Lors de l'étude du projet de loi C‑326 (Loi modifiant la Loi sur le ministère de la Santé, lignes directrices relatives à l'eau potable), M. Davies a demandé aux témoins « combien d'argent faudrait‑il pour que toutes les communautés des Premières Nations de ce pays aient accès à de l'eau potable et combien manque‑t‑il d'argent actuellement pour y arriver? ». (Comité permanent de la santé, le 26 mars 2018)
Autisme
  • Il a appuyé la motion de l'opposition concernant un financement supplémentaire pour l'autisme : « Le député votera‑t‑il en faveur de la motion prévoyant 19 millions de dollars pour aider les Canadiens touchés par l'autisme? ». (Chambre des communes, 18 mai 2017)
Don de sang et d'organes
  • Il a appuyé le projet de loi C‑316, la Loi modifiant la Loi sur l'Agence du revenu du Canada (donneurs d'organes), à la Chambre des communes : « J'aimerais conclure mon allocution d'aujourd'hui en encourageant tous les Canadiens à s'inscrire comme donneurs d'organes et à discuter de leurs souhaits avec leurs proches. » (25 septembre 2018)
  • Il a présenté la pétition 421-00823 demandant au gouvernement « d'adopter un processus d'évaluation scientifique des donneurs de sang qui ait recours à un modèle basé sur le comportement sans aucune discrimination fondée sur le sexe ou la préférence sexuelle, et de faire en sorte que le Canada rejette sans plus tarder cette politique et annonce que tous les Canadiens peuvent donner de leur sang, quelle que soit leur orientation sexuelle ». (Chambre des communes, 26 octobre 2016)
  • Il a demandé à la ministre de la Santé de « protéger le système d'approvisionnement en sang du Canada » et de fermer un centre de prélèvement de plasma privé à but lucratif qui a ouvert ses portes en Saskatchewan. (Chambre des communes, 18 février 2016)
Cancer du sein
  • Il a demandé au gouvernement d'annuler les nouvelles lignes directrices en matière de dépistage du cancer du sein qui déconseillent l'autoexamen des seins et de « conseiller aux médecins de ne pas les suivre et de lancer une nouvelle étude, qui sera dirigée par des experts dans ce domaine ». (Chambre des communes, 12 avril 2019)
Guide alimentaire canadien
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé, il a suggéré que les révisions du Guide alimentaire canadien seraient sabotées si les publicités de l'industrie destinées aux enfants ne sont pas traitées. (12 décembre 2017)
Cannabis
  • Le 19 février 2020, il a donné un avis de motion au Comité permanent de la santé pour que le Comité étudie l'accès au cannabis à des fins médicales au Canada. (Publication sur Tweeter, 19 février 2020)
  • Il a demandé à plusieurs reprises au gouvernement d'accorder l'amnistie aux Canadiens ayant un casier judiciaire injuste pour simple possession de cannabis. (Période des questions : 14 juin 2018, 30 mai 2019)
  • Il a demandé que le cannabis thérapeutique soit traité de la même façon que les opioïdes d'ordonnance : « Ironiquement, les opioïdes sont couverts par la plupart des assurances et sont exonérés de taxes. Également ironique, on incite les patients à choisir une option plus risquée […] Faire en sorte que le cannabis thérapeutique soit plus cher que les opioïdes constitue clairement une mauvaise politique ». (7 décembre 2017)
  • Il a parrainé la pétition électronique e‑1528 pour exonérer de taxe le cannabis prescrit par un médecin : « Les pétitionnaires demandent au gouvernement d'éliminer toutes les taxes — la taxe d'accise et la taxe de vente — imposées sur le cannabis thérapeutique, comme il le fait pour tous les médicaments au Canada ». (11 avril 2019)
Décriminalisation
  • Il a insisté sur le sujet de la décriminalisation des drogues à plusieurs reprises, tant lors de réunions du Comité qu'à la Chambre des communes (le 10 décembre 2018 et le 20 juin 2018) : « C'est donc d'autant plus important d'assurer aux Canadiens, s'ils consomment des drogues — une pratique que personne n'appuie ni n'encourage —, qu'ils aient au moins accès à des drogues de dose et de qualité connues pour qu'ils n'en meurent pas. C'est ce que demandent les néo‑démocrates. »
Démence
  • Il s'est prononcé en faveur du projet de loi C‑233 (Loi concernant une stratégie nationale sur la maladie d'Alzheimer et d'autres démences) à la Chambre des communes (le 5 avril 2016) pour appuyer l'élaboration d'une « stratégie de premier ordre sur la démence ».
Soins dentaires et oculaires
  • Il a présenté une motion au Comité permanent de la santé le 19 février 2020 afin qu'il entreprenne une étude sur la « création d'un régime national de soins dentaires à titre de service assuré pour les Canadiens ». Il a souligné que 32 % des Canadiens n'ont pas d'assurance dentaire et que des études ont démontré que la mauvaise santé buccodentaire est liée à de graves problèmes de santé, comme les maladies cardiovasculaires, la démence, les infections respiratoires, les complications diabétiques, les complications rénales, les naissances prématurées et le faible poids à la naissance. Le Comité permanent de la santé devrait commencer cette étude en mars 2020.
  • Il a présenté la pétition 421-04054, demandant au « gouvernement du Canada de reconnaître que la santé oculaire et les soins de la vue constituent un enjeu de santé publique grandissant, surtout chez les Canadiens vulnérables, en mettant au point un cadre national de promotion de la santé oculaire et des soins de la vue ». (Chambre des communes, 30 mai 2019)
  • Il était contre la motion de l'opposition présentée par le Parti conservateur « que, compte tenu de la surcharge fiscale qui pèse déjà sur les Canadiens de la classe moyenne, la Chambre demande au gouvernement de renoncer à tous plans qu'il pourrait avoir pour imposer de quelque façon les régimes de soins de santé et de soins dentaires » (Chambre des communes, 2 février 2017). « Nous veillerons à ce que les Canadiens sachent que les libéraux envisagent d'imposer leur régime de soins de santé et nous interviendrons à la Chambre pour lutter bec et ongles contre cette politique mal conçue qui, en plus de nuire aux soins de santé des Canadiens, aura pour effet de soutirer de l'argent des poches des Canadiens travaillant dur au moment où ils peuvent le moins se le permettre ».
Produits alimentaires et étiquetage
  • Il a présenté le projet de loi C‑257, la Loi modifiant la Loi sur les aliments et drogues (étiquetage relatif à la teneur en sucres) (le 3 décembre 2015). Le projet de loi n'a pas fait l'objet d'un débat.
  • Il a présenté le projet de loi C‑446 (Loi visant l'élaboration d'un programme national d'alimentation en milieu scolaire pour les enfants). (3 décembre 2015) Le projet de loi n'a pas fait l'objet d'un débat.
Stérilisation forcée
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé (le 31 janvier 2019), il a déclaré qu'il ne fait aucun doute que la stérilisation forcée est une forme de torture. Il pense qu'il s'agit de racisme, de sexisme et de colonialisme systémiques. Il estime que la réponse du gouvernement fédéral a été faible et que peu de détails sont connus.
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé (le 18 juin 2019), M. Davies a demandé à un agent de la GRC, qui est venu témoigner, si « des stérilisations forcées pouvaient avoir été pratiquées dans des régions qui relèvent de la compétence de la GRC », et a souligné le fait qu'il (M. Davies) a écrit à l'agent « en février dernier et a signalé qu'un recours collectif avait été intenté, recours qui, à ce moment‑là, nommait quelque 60 femmes à titre de plaignantes, et nommait le gouvernement fédéral, les autorités régionales de la santé et des médecins particuliers relativement à des incidents de stérilisation forcée ».
Recherche en santé
  • Il a appuyé la motion M‑105 à la Chambre des communes (le 18 mai 2017) demandant un financement de 19 millions de dollars pour « prévoir un centre d'information fiable pour éclairer sur l'élaboration des politiques, les décisions financières et la prestation des services ».
Transferts en santé
  • Lors du débat à la Chambre des communes du 22 octobre, il a réclamé une augmentation des transferts en matière de santé : « Nous aimerions aussi que le gouvernement fédéral augmente les transferts en santé aux provinces pour qu'ils suivent au moins le taux de croissance, qui se situe à environ 5,2 % par année. »
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé, il a demandé si la Régie de la santé des Premières Nations de la Colombie‑Britannique permettait de soutenir efficacement la santé des Autochtones : « Ce transfert ou ce type de transfert de pouvoir a‑t‑il aidé à soutenir l'amélioration de la santé et du bien‑être des peuples et des communautés autochtones dans cette province? Est‑ce un modèle que vous nous suggéreriez qui pourrait aider au transfert de pouvoirs aux communautés des Premières Nations? ». (25 octobre 2016)
  • Il a fortement plaidé à plusieurs reprises à la Chambre des communes contre les compressions en santé: « Lors de la campagne électorale, les libéraux ont promis de discuter de toutes les compressions avec les provinces. Or, ils ont plutôt décidé de les imposer sans négocier avec les provinces, tout comme M. Harper ». (26 septembre 2016)
VIH/sida
  • Il a fortement plaidé contre les réductions du financement des initiatives de lutte contre le VIH et le sida: « Aujourd'hui, les néo‑démocrates demandent au gouvernement d'annuler immédiatement ces réductions du financement et d'élargir l'initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida ». (Chambre des communes, 1er décembre 2016)
Santé des Autochtones
  • Le 19 février 2020, il a donné un avis de motion au Comité permanent de la santé pour que le Comité étudie la santé des Autochtones. (Publication sur Tweeter, 19 février 2020)
Soins de longue durée
  • Au cours de la période des questions du 29 octobre 2020, il a déclaré, « Les aînés qui vivent dans des résidences à but lucratif sont quatre fois plus susceptibles de contracter la COVID‑19 et d'en mourir que ceux qui vivent dans une résidence sans but lucratif, et c'est honteux […] Le gouvernement fera‑t‑il en sorte que les centres de soins de longue durée ne soient plus à but lucratif, afin que les aînés soient en sûreté dans ces centres? »
  • Au cours de la période des questions du 6 octobre 2020, il a déclaré que « La crise des soins de longue durée est un problème national, et le gouvernement fédéral doit jouer un rôle de chef de file pour le résoudre immédiatement. »
  • Au cours de la période des questions du 1eroctobre 2020, il a déclaré que « les Canadiens ont été horrifiés de prendre connaissance des conditions épouvantables dans lesquelles vivent nos aînés qui sont logés dans les établissements de soins de longue durée partout au pays », et a demandé « Que fait le gouvernement pour s'assurer que les personnes âgées seront mieux protégées au cours des mois particulièrement difficiles à venir? »
  • Le 24 novembre 2020, au cours du débat en réponse au discours du Trône à la Chambre des communes, il a déclaré ce qui suit : « Quatre‑vingts pour cent des décès attribuables à la COVID au Canada sont survenus dans des centres de soins de longue durée. Pourtant, le discours du Trône que son parti a publicisé hier ne contient aucun engagement à imposer des normes nationales contraignantes à l'égard des soins de longue durée. Il n'annonce pas de financement fédéral lié à l'application de telles normes et il ne mentionne aucunement les soins à domicile, que privilégient pourtant la plupart des personnes âgées ».
Maladie de Lyme
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé (le 6 juin 2017), il a demandé si le gouvernement fournissait suffisamment de fonds pour la maladie de Lyme, et a parlé du manque de leadership, de la rétroaction des patients et des opinions divergentes concernant cette maladie.
Aide médicale à mourir
  • Il a questionné la liaison établie entre les soins palliatifs et l'aide médicale à mourir afin que le gouvernement puisse élaborer une stratégie exhaustive en matière de soins de fin de vie : « Je pense que tout le débat entourant l'aide médicale à mourir nous a donné une occasion, aux parlementaires et à tous les Canadiens, de nous pencher sur les questions profondément difficiles que soulèvent les soins de fin de vie ». (7 mars 2017)
Appareils médicaux
  • Il a présenté le projet de loi C‑271, la Loi modifiant la Loi sur la taxe d'accise (piles — appareils médicaux ou fonctionnels) (le 3 décembre 2015). Le projet de loi n'a pas fait l'objet d'un débat.
Boissons alcoolisées mélangées
  • Des interventions faites au Comité permanent de la santé remettant en question les positions des intervenants de l'industrie sur les boissons alcoolisées mélangées; cependant, aucune position ou opinion claire n'a été documentée (le 5 septembre 2018).
Homme ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes (HARSAH)
  • Au cours de la période de questions, il a demandé au gouvernement pourquoi il fait preuve de discrimination envers les hommes homosexuels qui veulent faire un don de sang.
    « Comment les libéraux peuvent‑ils présenter des excuses sincères à la communauté LGBTQ pour les injustices commises dans le passé alors qu'ils pratiquent la discrimination dans le présent? ». (9 novembre 2017)
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé (le 8 décembre 2016), il a exprimé des préoccupations au sujet des différentes politiques d'exclusion entre les dons de sang et de plasma. Plus précisément, il a demandé pourquoi l'industrie est autorisée à rémunérer les personnes qui font des dons de plasma et a émis l'hypothèse qu'une compensation monétaire pourrait faire mentir des personnes.
Nutrition
  • Le 19 février 2020, il a donné un avis de motion au Comité permanent de la santé pour que le Comité étudie l'élaboration d'un programme national de nutrition en milieu scolaire. (Publication sur Tweeter, 19 février 2020)
  • Le 4 février 2020, il a présenté le projet de loi C‑201 (Loi visant l'élaboration d'un programme national d'alimentation en milieu scolaire pour les enfants). Ce texte prévoit l'élaboration d'un programme national d'alimentation en milieu scolaire pour veiller à ce que tous les enfants du Canada aient accès à des aliments sains. (Remarque : M. Davies est 131e sur la Liste portant examen des affaires émanant des députés.)
Opioïdes et drogues
  • Au cours de la réunion du Comité plénier du 22 juillet 2020 concernant la COVID‑19, il a déclaré qu'« il n'y a pas une seule pandémie au Canada, mais deux. Le nombre de Canadiens qui meurent à cause des opioïdes dans notre pays est stupéfiant et ne cesse d'augmenter ». Il a demandé « Quel est le plan des libéraux pour faire face à la pandémie de surdoses qui ravage notre pays? » Au cours de la même réunion, il a continué à exercer une pression en demandant, « Quand le gouvernement écoutera‑t‑il les experts, admettra‑t‑il la validité des preuves et traitera‑t‑il la toxicomanie comme un problème de santé plutôt que de criminalité? »
  • Le 19 février 2020, il a donné un avis de motion au Comité permanent de la santé pour que le Comité étudie l'état de l'accès aux services de traitement pour les troubles de toxicomanie au Canada. (Publication sur Tweeter, 19 février 2020)
  • Il a appuyé le dépôt d'une poursuite au civil contre les sociétés pharmaceutiques afin de récupérer les coûts encourus par la province de la Colombie‑Britannique pour faire face à la crise des opioïdes. Il a demandé à la ministre de la Santé si le gouvernement libéral se joindrait à ce recours collectif contre les fabricants d'opioïdes.
  • Il a fait pression sur la ministre pour qu'elle envisage la décriminalisation et la réglementation afin de garantir un approvisionnement sûr en opioïdes : « Il est tout à fait évident qu'un approvisionnement sûr sauverait des vies. Même quelqu'un d'aussi réputé que le président de l'Association médicale canadienne demande aux politiciens canadiens de tenir un débat "ouvert et courageux" sur la décriminalisation. Pourtant, le premier ministre et vous‑même avez explicitement écarté toute possibilité de décriminalisation et de réglementation ». (6 décembre 2018)
  • Au cours d'une réunion du Comité permanent de la santé, il a souligné les préoccupations concernant le manque de traitements appropriés ou de centres de désintoxication disponibles pour traiter la toxicomanie. Il a indiqué que le rapport du Comité sur la crise des opioïdes contenait trois recommandations demandant au gouvernement de financer les centres de désintoxication. Davies a demandé comment la nouvelle Stratégie canadienne sur les drogues et autres substances du gouvernement pouvait être considérée comme exhaustive alors qu'il n'y a aucun financement pour les centres de désintoxication. (13 décembre 2016)
  • Il a fait pression sur la ministre de la Santé pendant la période de questions (le 8 décembre 2016) pour qu'elle déclare une urgence nationale de santé publique : « Est‑ce que la ministre peut nous dire ce qu'elle attend? Que plus de Canadiens meurent? ».
  • Il a fait pression sur le gouvernement pour qu'il déclare une urgence nationale de santé publique sur le fentanyl : « Les libéraux prétendent que la déclaration de sinistre est inutile, qu'elle ne procurerait aucun autre levier d'intervention. C'est tout à fait faux ». (Période de questions, 10 décembre 2018)
Soins palliatifs
  • Il a présenté une motion au Comité permanent de la santé le 19 février 2020 afin qu'il entreprenne une étude sur les soins palliatifs, y compris un examen des pays de comparaison. La motion a été adoptée, mais aucune date n'a été fixée pour le début de l'étude.
  • Il a appuyé le projet de loi C‑277 (Loi visant l'élaboration d'un cadre sur les soins palliatifs au Canada) à la Chambre des communes : « Nous envisageons avec impatience de contribuer au processus d'élaboration du cadre et souhaitons sincèrement qu'il fournisse la meilleure stratégie de soins palliatifs possible pour chaque Canadien, d'un océan à l'autre ». (30 mai 2017)
Régime d'assurance‑médicaments
  • Au cours du débat en réponse au discours du Trône le 24 novembre 2020 à la Chambre des communes, il a fait pression sur le gouvernement pour qu'il prenne des mesures supplémentaires : « Le gouvernement s'engagera‑t‑il enfin à mettre en place un régime public d'assurance‑médicaments et à dire aux Canadiens quand ils auront accès à ce service médical essentiel attendu depuis si longtemps? »
  • Au cours de la période des questions du 30 novembre 2020, il a déclaré : « À ce jour, ni le premier ministre, ni la ministre de la Santé, ni aucun député d'en face n'ont jamais indiqué la forme d'assurance‑médicaments qu'ils voulaient négocier. Le NPD demande un régime public d'assurance‑médicaments parce que c'est ce que recommandent le rapport Hoskins, le comité de la santé et tous les groupes de travail des 30 dernières années. »
  • « Monsieur le Président, les Canadiens vivent la pire crise sanitaire en un siècle, une crise qui ne prendra fin qu'avec un traitement ou un vaccin efficace. Pourtant, sans un régime d'assurance‑médicaments public, rien ne garantit qu'ils auront un accès universel à ces médicaments qui pourraient leur sauver la vie. » (Période des questions, 6 octobre 2020)
  • « Les libéraux appuieront‑ils notre projet de loi édictant la loi canadienne sur l'assurance‑médicaments (projet de loi C‑213) pour qu'enfin tous les Canadiens obtiennent les médicaments dont ils ont besoin? » (Période des questions, 24 février 2020)
  • « Au Canada, nous avons la Loi canadienne sur la santé et nous avons le régime d'assurance‑maladie. Si vous pensez que ce dossier est épineux, nous avons obtenu cela dans les années 1960. L'assurance‑médicaments n'est‑elle pas un prolongement mesuré naturel du système même qui a réglé tous ces problèmes? Le gouvernement fédéral met de l'argent à la disposition des provinces, en respectant la compétence provinciale. Les provinces ont droit à cet argent tant qu'elles acceptent de respecter les principes énoncés dans la Loi canadienne sur la santé. » (27 septembre 2016)
  • Il a présenté la pétition 421‑03319, demandant au « gouvernement libéral de réduire le coût des médicaments d'ordonnance pour tous les Canadiens et de travailler avec les provinces pour instituer un régime public, universel et complet d'assurance‑médicaments ». (Chambre des communes, 19 mars 2019)
  • Il a présenté la pétition 421-03189, demandant au « gouvernement de mettre en œuvre immédiatement un régime d'assurance-médicaments public, complet et universel ». (5 février 2019)
  • Il a présenté le projet de loi C‑293, la Loi modifiant la Loi sur le ministère de la Santé (comité consultatif) (3 décembre 2015). Le projet de loi n'a pas fait l'objet d'un débat.
  • Il a demandé au gouvernement de mettre en place un régime d'assurance‑médicaments national : « Pourquoi les libéraux ont‑ils accepté ces dispositions qui augmenteront les coûts des médicaments pour les Canadiens? ». (Chambre des communes, 28 mai 2019)
Maladies rares, accès aux médicaments et Programme d'accès spécial (PAS)
  • Il a présenté la pétition électronique 2649 à la Chambre des communes le 1eroctobre 2020 : « Le Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés a proposé de nouveaux règlements et des lignes directrices visant à réduire le prix des médicaments et à rehausser la transparence du processus d'établissement des prix. Ils demandent au gouvernement d'adopter ces changements attendus depuis longtemps, de réduire le prix des médicaments que la population doit payer et de faire en sorte que tous les Canadiens soient en mesure de se procurer les médicaments que leur a prescrits leur médecin et dont ils ont besoin. »
  • Il a remis en question l'efficacité du Programme d'accès spécial lors d'une réunion du Comité permanent de la santé, en particulier en ce qui concerne la nécessité pour les patients de présenter une nouvelle demande tous les trois mois pour avoir accès au médicament « Cystagon ». Au cours de cette discussion, M. Davies a insisté auprès des représentants de Santé Canada sur les raisons pour lesquelles cette pratique était appliquée aux patients qui obtenaient des résultats positifs avec le médicament. (30 octobre 2018)
  • Lors d'une réunion du Comité permanent de la santé, M. Davies a suggéré que la question des maladies rares était un exemple parfait de la nécessité d'un formulaire national. Il a ensuite fait valoir que, pour minimiser l'influence des lobbyistes travaillant pour l'industrie, la décision d'inclure ou non des médicaments dans le formulaire devrait être prise par une commission indépendante. (4 octobre 2018)
Tabac et vapotage
  • Le 19 février 2020, il a donné un avis de motion au Comité permanent de la santé pour que le Comité étudie les produits de vapotage. (Publication sur Tweeter, 19 février 2020)
  • Il a demandé un amendement au projet de loi S‑5 (Loi modifiant la Loi sur le tabac) pour « interdire la promotion de tous les arômes susceptibles de plaire aux jeunes ». (28 février 2018)
Violence contre les travailleurs du secteur de la santé
  • Il a présenté le projet de loi C‑434, la Loi modifiant le Code criminel (voies de fait contre un travailleur du secteur de la santé) (3 décembre 2015). Le projet de loi n'a pas fait l'objet d'un débat.

Chris d'Entremont

Affiliation politique : Conservateur

Circonscription : Nova Ouest (Nouvelle Écosse)

Élu en : 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé (octobre 2020)

Expérience au sein de comités : Vice président du Comité des langues officielles (février 2020 à août 2020), membre du Sous comité du programme et de la procédure du Comité permanent des langues officielles (de février à août 2020)

Biographie : Il a été ministre de l'Agriculture, des Pêches et de l'Aquaculture, des Affaires acadiennes, de la Santé et des Services communautaires et a été le leader parlementaire de l'opposition officielle lorsqu'il a été élu à l'Assemblée législative de la Nouvelle Écosse. À titre de ministre de la Santé de la Nouvelle Écosse, il a présenté la première Stratégie de soins continus de la Nouvelle Écosse et a lancé le plus important programme de construction de maisons de soins de longue durée de l'histoire de la province. Il a également présenté le premier programme d'assurance médicaments pour la famille au Canada, aidant les Néo Écossais à avoir une couverture des médicaments onéreux.

Intérêts du membre

Vaccins contre la COVID‑19
  • Lors de quelques réunions du Comité permanent de la santé, il a exprimé des préoccupations concernant la stratégie du gouvernement concernant la campagne de vaccination contre la COVID‑19
  • Il croit que les vaccins devraient être fournis aux provinces et que la distribution devrait être conforme à leurs lignes directrices : « Les provinces sont maîtres de leur destinée; continuons de les aider à atteindre le plus grand nombre de Canadiens possible. » [traduction] https://www.thechronicleherald.ca/news/provincial/first-inmates-at-springhill-institution-get-covid-19-vaccine-538875/ (en anglais seulement)
Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés
  • Au cours de la période des questions du 30 octobre 2020, il a exprimé des préoccupations concernant le nouveau règlement du Conseil d'examen du prix des médicaments brevetés : « Ces changements sont attendus depuis un certain temps par les patients et par les groupes de patients. Ces derniers signalent qu'en l'absence d'une révision sérieuse du projet de lignes directrices, de nouveaux médicaments susceptibles de sauver des vies, comme le Trikalfa, ne seront pas commercialisés au Canada. Malheureusement, les changements proposés ne reflètent pas les préoccupations communiquées dernièrement au gouvernement. »
Transferts en santé
  • Il a déclaré lors du débat sur le discours du Trône de 2019 qu'il fallait « plus de détails » concernant l'accès aux soins primaires. Il a déclaré que « les soins de santé sont un droit de la personne fondamental » et que le gouvernement devrait « écouter attentivement les premiers ministres provinciaux […] surtout quand ceux‑ci lui demandent d'augmenter les transferts en santé ». (11 décembre 2019)
  • Il a déclaré au cours du même débat que « Les régions ont besoin d'argent pour trouver l'expertise nécessaire à notre système de santé. Il ne suffit pas de trouver des médicaments ou des programmes de soins à long terme. Il s'agit vraiment d'aider les gouvernements provinciaux à trouver une façon d'offrir un service plus adéquat. » (11 décembre 2019)
  • Au sujet du Transfert canadien en matière de santé au cours du débat sur le discours du Trône de 2019, il a déclaré que « Lorsque j'étais ministre, j'ai moi‑même subi des compressions budgétaires. Nous nous sommes toujours assurés que ce n'était pas un calcul basé sur la population. Dans l'Est, nous avons des aînés et nous avons des systèmes que d'autres provinces n'ont pas. On a donc besoin de pousser un peu les choses. » (11 décembre 2019)
Don de sang
  • Il a encouragé les Canadiens à donner du sang.

Publication sur Twitter (24 septembre 2020) https://twitter.com/LifelineNS/status/1309128666878799873 (en anglais seulement).

Soins de longue durée
  • Il a soutenu des investissements dans les soins de longue durée en vue d'améliorer l'équipement et les fournitures dans les établissements de soins de longue durée en Nouvelle‑Écosse.

Article de presse – The Reporter (28 mars 2019) http://porthawkesburyreporter.com/long-term-care-investment-receives-mixed-reactions/ (en anglais seulement).

Soins palliatifs
  • Il a appuyé l'ouverture de l'Unité de soins palliatifs An Cala à l'Hôpital régional du Cap‑Breton. « Nous savons tous et croyons que les Néo‑Écossais qui ont besoin de soins de fin de vie devraient avoir accès au même niveau de service, peu importe où ils vivent. » [traduction]

Article de presse – Cape Breton Post (18 février 2010) : https://www.capebretonpost.com/news/provincial/the-an-cala-palliative-care-unit-officially-opens-22633/ (en anglais seulement).

Maladies rares, accès aux médicaments
  • Au cours d'une réunion du Comité spécial sur la pandémie de la COVID‑19, il a souligné la nécessité de mettre Trikafta accessible aux Canadiens atteints de fibrose kystique : « j'ai demandé au premier ministre si le gouvernement allait rendre Trikafta, qui aurait peut‑être sauvé la vie de Chantelle, accessible aux Canadiens. Maintenant que près de 12 semaines se sont écoulées, nous croyons comprendre que Vertex Pharmaceuticals n'a toujours pas présenté une demande d'étude à Santé Canada. Nombre de mes collègues conservateurs et moi‑même avons récemment envoyé une lettre à la ministre pour lui demander une mise à jour sur la façon dont nous appuyons ces négociations avec Vertex. » (12 mai 2020)
  • Dans les médias, il a exprimé des préoccupations quant à l'accès aux médicaments dans les communautés rurales, et indiqué les inconvénients de limiter les remises que les fabricants de médicaments peuvent donner aux pharmacies : « Si elles ne sont pas correctement mises en œuvre, les pharmacies rurales pourraient devoir fermer leurs portes. Une pharmacie rurale se livre généralement à des transactions de moindre volume, de sorte qu'un plafond sur les remises pourrait avoir une incidence importante sur sa rentabilité ». [traduction] Article de presse – Guelph Mercury (20 septembre 2010) : https://www.guelphmercury.com/news-story/2709321-nova-scotia-to-consult-drug-makers-and-users-on-ballooning-prescription-costs/ (en anglais seulement).
Régime d'assurance‑médicaments
  • Alors qu'il était ministre de la Santé en Nouvelle‑Écosse, il a appuyé un investissement supplémentaire de 12 millions de dollars dans le régime d'assurance‑médicaments pour les aînés (2006‑2007). Cet investissement dans le programme d'assurance‑médicaments pour les aînés fera en sorte que la Nouvelle‑Écosse continuera d'avoir le programme d'assurance‑médicaments le plus complet au Canada atlantique. À mesure que le coût des médicaments d'ordonnance continue d'augmenter, une augmentation modeste des frais permettra au programme de continuer à offrir des prestations au plus grand nombre d'aînés (article de presse, 2006 : https://novascotia.ca/news/release/?id=20060315002 [en anglais seulement]).
Cannabis
  • À titre de coprésident du congrès à la direction du Parti progressiste‑conservateur de la Nouvelle‑Écosse en 2018, il a déclaré qu'il n'y aura pas de contrôle policier si des membres consomment du cannabis au Exhibition Park d'Halifax. « C'est maintenant légal au Canada et vous savez que nous ne sommes peut‑être pas tout à fait d'accord, mais en même temps, les gens sont libres de faire ce qu'ils estiment être le meilleur pour eux. » [traduction] Article de presse de CBC News : https://www.cbc.ca/news/canada/nova-scotia/pc-leadership-convention-exhibition-park-smoking-cannabis-1.4878311 (en anglais seulement). Il a indiqué que la Nouvelle‑Écosse devrait resserrer les règles concernant la vente en ligne de cannabis par l'entremise de la Nova Scotia Liquor Corporation (NSLC) : « Les magasins de la NSLC qui font des ventes croisées d'alcool et de cannabis. De nombreux comités d'experts diraient que ces magasins n'ont pas lieu d'être, ils devraient être des magasins indépendants. » [traduction] Article de presse (22 octobre 2018) : https://www.cjls.com/2018/10/22/pcs-say-nslc-cannabis-stores-should-be-stand-alone/ (en anglais seulement).
Santé mentale

Mike Kelloway

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Cape Breton—Canso (Nouvelle Écosse)

Élu en : 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé

Expérience au sein de comités : Aucune

Biographie : Résident de Cape Breton—Canso depuis toujours, il a terminé des études communautaires à l'Université du Cap Breton, puis a fait des études supérieures en éducation à l'Université de Calgary. Avant son élection en 2019, il a été administrateur de projets spéciaux au Nova Scotia Community College. Avant d'être élu, il était le responsable de l'innovation communautaire pour le Cap Breton et le nord est de la Nouvelle Écosse.

Intérêts du membre

Coronavirus

  • Le 29 janvier 2020, lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le Comité permanent de la santé, il a demandé aux représentants :
    • Quelle est la différence entre les cas confirmés et les cas présumés?
    • Quelles mesures devrait prendre une personne infectée par le virus à son arrivée au Canada?
    • Pouvez‑vous définir « à faible risque »?
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada devant le Comité permanent de la santé le 3 février 2020, il a demandé :
    • Comment le Canada aide‑t‑il les pays en développement?
    • Les voyageurs ont‑ils le droit de refuser les tests de dépistage? Dans quelle mesure les tests de dépistage sont‑ils efficaces?
Régime d'assurance‑médicaments
  • Il a fait une déclaration de député le 9 décembre 2019, dans laquelle il a déclaré qu'il était « prêt à se mettre au travail avec notre Premier ministre et ce gouvernement pour prendre des mesures sérieuses sur […] la mise en œuvre d'un régime universel d'assurance‑médicaments ». (Période de questions, 9 décembre 2019)
Accès aux soins de santé
  • Au cours de la période des questions, il a demandé au ministre de la Santé ce que le gouvernement fait pour aider les provinces à améliorer l'accès aux médecins de famille ou aux équipes de soins primaires (4 février 2020).

Larry Maguire

Affiliation politique : Conservateur

Circonscription : Brandon—Souris (Manitoba)

Élu en : 2013, 2015 et 2019

Rôle actuel : Comité permanent de la santé (octobre 2020) Expérience au sein de comités : A été membre du Comité permanent de la Justice et des droits de la personne (2020), du Comité permanent du patrimoine canadien (2016-2017), du Comité permanent de la citoyenneté et de l'immigration (2017-2019), du Comité permanent de l'agriculture et de l'agroalimentaire (2015), du Comité permanent de l'accès à l'information, de la protection des renseignements personnels et de l'éthique (2015), du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (2014-2015), du Comité permanent des ressources humaines, du développement des compétences, du développement social et de la condition des personnes handicapées (2014-2015), du Comité permanent de la sécurité publique et nationale (2014) et du Comité mixte permanent d'examen de la réglementation (2014).

Biographie : M. Maguire a grandi dans une ferme et ses valeurs sont étroitement liées au secteur agricole. Il a été président de la Western Canadian Wheat Growers Association (1995-1999) et a été élu à deux reprises au Comité consultatif de la Commission canadienne du blé. Il est toujours membre exécutif du Conseil des grains du Canada et de Keystone Agriculture Producers.

Intérêts du membre

Système de soins de santé, services et accessibilité
  • Lors de la 42elégislature, il a présenté la motion M‑592 le 30 mars 2015 concernant la création de normes nationales en matière de dossiers médicaux électroniques. La motion, qui n'a jamais été débattue, avait pour but de demander au Comité permanent de la santé d'entreprendre une étude sur la création de normes nationales pour les dossiers médicaux électroniques. Il a également déclaré que dans le cadre de son étude, le Comité devrait être guidé par les principes suivants :
    • tous les dossiers électroniques et leur contenu doivent être considérés comme la propriété des patients;
    • tous les dossiers électroniques et leur contenu sont considérés comme appartenant aux patients;
    • la confidentialité du dossier électronique de chacun doit être respectée en tout temps.
  • Lorsque CBC News lui a demandé en 2015 ce qu'il trouvait frustrant au sujet du système de santé actuel, M. Maguire a répondu par « le manque de médecins dans certaines régions rurales. Ce que nous avons fait à l'échelle fédérale, c'est d'inciter des régions comme celle‑ci à continuer à renforcer les capacités des provinces de sorte que nous ayons accès à des soins de santé de qualité dans nos régions rurales et éloignées. » [traduction] [(https://www.cbc.ca/news/canada/manitoba/election-manitoba-brandon-souris-larry-maguire-1.3258974)] [en anglais seulement]
Aide médicale à mourir
  • Le 27 février 2020, au cours du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a exprimé des préoccupations concernant les critères d'admissibilité : « Puisque je crois aux droits individuels et au jugement des experts médicaux, je souscris à cette approche. Ma seule inquiétude est qu'elle demeure trop vague ».
  • Le 27 février 2020, au cours du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a exprimé clairement la nécessité d'avoir accès à l'aide médicale à mourir dans les régions rurales : « En tant que grand défenseur du Canada rural, je suis bien placé pour connaître les défis uniques que doivent relever chaque jour des millions de personnes à cause de leur isolement ou de leur éloignement. Je veux donner le bénéfice du doute au gouvernement et croire que le sort des Canadiens des régions rurales lui tient à cœur, mais son bilan à cet égard indique tout à fait le contraire. Même si ces problèmes ne peuvent pas être corrigés dans la mesure législative, nous ne pouvons pas en faire fi lorsque nous parlons de l'aide médicale à mourir ».
  • Le 27 février 2020, au cours du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a critiqué les changements énoncés dans le projet de loi C‑7 : « À l'heure actuelle, les patients qui souhaitent avoir recours à l'aide médicale à mourir doivent soumettre une demande écrite qui doit être signée par deux témoins indépendants. Le projet de loi C‑7 modifierait la loi pour qu'un seul témoin indépendant soit nécessaire. Je pense qu'il incombe au gouvernement de justifier ce changement. Il a également l'intention d'éliminer la période d'attente obligatoire de 10 jours qui commence après que la demande écrite a été signée. Encore une fois, il s'agit d'un changement important qui va au‑delà de ce qui était requis pour que la loi soit conforme au jugement de la Cour supérieure du Québec. »
  • Le 27 février 2020, lors du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), lorsque le député néo‑démocrate Randall Garrison l'a invité à dire s'il appuyait ce projet de loi autorisant les demandes anticipées d'aide médicale à mourir, il a déclaré ce qui suit : « J'ai déjà obtenu les points de vue de nombreux citoyens de ma région qui accueillent plutôt favorablement cette modification ainsi que l'ajout d'une période de réflexion de 90 jours. C'est l'une des modifications prévues dans le projet de loi en ce qui a trait au critère de la mort naturelle “raisonnablement prévisible”, et je l'appuie ».
Soins palliatifs
  • Le 27 février 2020, lors du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a critiqué la réponse du gouvernement pour améliorer la disponibilité des soins palliatifs : « Nous avons également été assez catégoriques à propos de l'amélioration de l'accès aux soins palliatifs. Même si la prestation de soins de santé est du ressort des gouvernements provinciaux, nous avons adopté un projet de loi d'initiative parlementaire visant à mettre en œuvre un plan d'action. Ma collègue de Sarnia—Lambton, qui a travaillé fort pour faire adopter ce projet de loi, est très déçue de constater que dans le cadre du plan d'action quinquennal du gouvernement, on n'a pas consacré suffisamment de ressources et on n'a pas défini d'ensemble clair de résultats mesurables. Les gens qui vivent dans une circonscription rurale, comme la mienne, n'ont pas accès à assez de services de soins palliatifs. Mes pensées vont aux familles qui doivent organiser un déplacement pour un proche qui en est aux derniers jours de sa vie. »
Santé mentale
  • Le 13 mai 2020, au cours du débat en deuxième lecture du projet de loi C‑16 (Loi modifiant la Loi sur la Commission canadienne du lait), il a exprimé des préoccupations au sujet de la santé mentale des agriculteurs canadiens : « La santé mentale des agriculteurs mérite aussi notre attention. J'aimerais entendre les observations de la députée à ce sujet. Dans l'article du Globe and Mail, on indique que 58 % des agriculteurs ont des symptômes correspondant à de l'anxiété et que 35 % montrent des signes de dépression ».
  • Sur son site Web, il a souligné « le début de la Semaine de la santé mentale au Canada en disant que de l'aide en santé mentale est toujours disponible aux membres et aux vétérans des Forces armées canadiennes, ainsi qu'aux membres de la GRC qui en ont besoin ».
Régime d'assurance‑médicaments
  • Il s'est montré réticent dans les médias à l'idée de la mise en œuvre d'un régime national d'assurance‑médicaments : « Nous savons que les médicaments sont très chers pour nos aînés, nous savons que l'assurance‑médicaments a fait l'objet de discussions en vue d'un régime national, mais nous savons également, selon le Conference Board du Canada, que 98 % des gens aujourd'hui sont déjà admissibles à un programme qui existe déjà ». [traduction] Article de presse – Brandon Sun (20 septembre 2019) : https://www.brandonsun.com/local/candidates-tackle-seniors-issues-560841142.html (en anglais seulement).
Diabète
  • Le 28 mai 2019, au cours du débat sur la Motion 173 (Mois de la sensibilisation au diabète), il a critiqué le rôle du gouvernement dans l'aide offerte aux Canadiens atteints de diabète : « C'est bien beau de proclamer un mois de la sensibilisation au diabète, mais cela ne change rien au fait que le gouvernement a traité injustement des milliers de Canadiens atteints de diabète. » Au cours de cette même intervention, M. Maguire s'est concentré davantage sur le fait que les diabétiques doivent avoir droit au crédit d'impôt pour personnes handicapées.

Ron McKinnon

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Coquitlam—Port Coquitlam (Colombie Britannique)

Élu en : 2015 et 2019

Rôle actuel : Président du Comité permanent de la santé

Expérience au sein de comités : Comité permanent de la santé (2016-2019), Comité permanent de la justice (2017-2019)

Biographie : En tant que membre du Comité permanent de la justice et des droits de la personne et du Comité permanent de la santé, il a travaillé à l'élaboration de lois relatives à l'aide médicale à mourir et à la Loi sur le cannabis, et a participé à un certain nombre d'études, notamment sur le régime d'assurance médicaments, la traite des personnes, l'accès à la justice, le soutien aux jurés et la résistance aux antimicrobiens.

Il a présenté le projet de loi C 224, Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose, qui est entré en vigueur en mai 2017 après avoir reçu l'appui unanime de tous les partis.

Avant d'être élu, il était un propriétaire d'entreprise et un analyste de systèmes informatiques prospère pour de grandes entreprises au Canada, aux États Unis et à l'étranger. Dans les années 1970, il a travaillé comme technicien météorologique pour Environnement Canada. Il est titulaire d'un baccalauréat en sciences de l'Université de l'Alberta et d'un diplôme honorifique en technologie informatique du Southern Alberta Institute of Technology.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Le 22 octobre 2020, au cours du débat en deuxième lecture sur la motion portant production de documents devant le Comité permanent de la santé, il n'a pas appuyé la motion, déclarant qu'elle ratisse très large : « Il serait contreproductif de demander autant de documents d'un seul coup, car il faudrait ensuite les décortiquer. Je propose au contraire que, chaque fois qu'un sujet sera abordé, les documents correspondants soient demandés aux témoins entendus par le comité. »
Cannabis
  • Il a déclaré que le projet de loi C‑45, la Loi sur le cannabis, est « l'un des changements en matière de politique publique les plus importants et les plus transformateurs de l'histoire moderne » et que « l'approche précédente n'a pas fonctionné ». (14 mai 2019)
Consommation et abus de drogue
  • A présenté le projet de loi C‑224, Loi modifiant la Loi réglementant certaines drogues et autres substances (aide lors de surdose) qui a reçu la sanction royale le 4 mai 2017. Également connu sous le nom de Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose, le projet de loi modifie la Loi sur les drogues et les substances contrôlées afin d'exempter des accusations de possession ou des accusations liées à la violation de certaines conditions ou ordonnances d'une personne qui demande une assistance médicale d'urgence ou une assistance des forces de l'ordre pour elle-même ou pour une autre personne suite à une surdose d'une substance contrôlée.
Commercialisation des boissons et des aliments malsains destinés aux enfants
  • Il s'est prononcé en faveur du projet de loi S‑228, Loi modifiant la Loi sur les aliments et drogues (interdisant la commercialisation des aliments et des boissons destinés aux enfants) le 12 février 2018. Il a souligné que ce projet de loi protégerait la santé et le bien‑être de tous les enfants canadiens.
Don d'organes
  • Le 5 novembre 2018, il s'est prononcé en faveur du projet de loi C‑316 (Loi modifiant la Loi sur l'Agence du revenu du Canada [donneurs d'organes et de tissus]).
Soins palliatifs
  • Le 9 mai 2017, il s'est prononcé en faveur du projet de loi C‑277, une Loi prévoyant l'élaboration d'un cadre pour les soins palliatifs au Canada et pour discuter de l'engagement de notre gouvernement à améliorer les soins palliatifs et de fin de vie pour tous les Canadiens. Il a fait remarquer que « si l'assistance médicale au moment de la mort n'est qu'une des options possibles en fin de vie, les expériences dans d'autres pays suggèrent que seule une fraction d'entre eux la demanderont. Il semble que de nombreux Canadiens qui pourraient bénéficier de soins palliatifs ne les reçoivent pas. »
Sécurité des patients
  • Le 1ernovembre 2017, il a fait une déclaration de député à l'occasion de la Semaine canadienne de la sécurité des patients. Il a souligné que les incidents liés à la sécurité des patients sont la troisième cause de décès au Canada, derrière le cancer et les maladies cardiaques.

Jennifer O'Connell

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Pickering—Uxbridge (Ontario)

Élue en : 2015 et 2019

Rôle actuel : Secrétaire parlementaire de la ministre de la Santé

Expérience au sein de comités :

  • Sous comité des droits internationaux de la personne du Comité permanent des affaires étrangères et du développement international (2021 à aujourd'hui)
  • Comité spécial sur la pandémie de la COVID 19 (2020)
  • Sous comité du programme et de la procédure du Comité permanent des finances (2017 et 2018)
  • Comité permanent des finances (2016 à 2018)

Biographie : Durant ses trois mandats à titre de conseillère municipale et régionale de la ville de Pickering et de la région de Durham, Mme O'Connell a joué un rôle actif au sein de plusieurs conseils et comités. Elle a aussi agi comme maire adjointe de Pickering et membre du Comité des finances et de l'administration de la région de Durham. Avant cela, elle a assumé pendant quatre ans les fonctions de présidente du comité des riverains et de vice présidente du comité consultatif Sustainable Pickering.

Mme O'Connell est titulaire d'un baccalauréat en sciences politiques de l'Université de Toronto. C'est à titre d'adjointe juridique subalterne et de bénévole dans un cabinet d'avocats spécialisé en droit du travail qu'elle a découvert sa passion : donner une voix à ceux dans le besoin. Elle a appris tôt dans la vie comment tirer profit de sa passion pour obtenir des résultats concrets, et est rapidement devenue la plus jeune représentante élue dans son quartier municipal.

Intérêts du membre

Établissement de soins de longue durée
  • Lors du débat du 22 mars 2021 :
    • Elle a affirmé que s'ils sont en faveur de la création de meilleures conditions, les députés doivent appuyer le projet de loi C‑14, qui prévoit un financement de 1 milliard de dollars pour les établissements de soins de longue durée.
    • Elle a interpellé le chef du Parti conservateur du Canada pour s'être opposé publiquement aux normes nationales en matière de soins de longue durée.
    • Elle a également déclaré qu'elle était en faveur des normes nationales.
Vaccins
  • Au cours d'un débat d'urgence le 26 janvier 2021, elle a déclaré que les vaccins sont importants pour venir à bout de la pandémie et que les décisions sur les vaccins doivent être guidées par la science.

Dr. Marcus Powlowski

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Thunder Bay—Rainy River (Ontario)

Élu en : 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé (HESA)

Expérience au sein de comités : Aucune

Biographie : Ce natif de Thunder Bay a été urgentologue au Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay avant son élection. En plus d'être docteur en médecine, il est titulaire d'un baccalauréat en droit de l'Université de Toronto et d'une maîtrise en droit de l'Université de Georgetown. Il a également étudié à l'Université Harvard, où il a obtenu une maîtrise en santé publique avec spécialisation en droit et politique de la santé.

Pendant deux ans, le Dr Powlowski a travaillé comme médecin dans des communautés nordiques des Premières Nations et, pendant sept ans, il a pratiqué la médecine dans de nombreux pays en développement d'Afrique et d'Océanie. Il a œuvré pendant plusieurs années comme conseiller en matière de réglementation de la santé auprès de l'Organisation mondiale de la santé. Il a également travaillé à titre de bénévole dans le cadre d'un projet médical en Éthiopie.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le HESA le 29 janvier 2020, il a posé les questions suivantes aux représentants :
    • Le Canada envisage‑t‑il de demander aux gens qui reviennent de Chine de s'isoler volontairement?
    • Le virus peut‑il être transmis même par les personnes asymptomatiques?
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) devant le HESA le 3 février 2020, il a demandé si l'ASFC envisageait d'élargir ses questions pour inclure tous les voyageurs en provenance de la Chine.
  • Lors de la comparution de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) et du ministère de la Défense nationale devant le HESA le 5 février 2020, il a posé la question à savoir si l'on demandait aux personnes qui voyagent au Canada depuis la Chine de s'isoler volontairement pendant 14 jours.
  • Il a publié des déclarations sur Facebook réitérant les commentaires formulés par l'ASPC et la province de l'Ontario.
  • Marcus Powlowski est un ardent défenseur de la vaccination.

Hon. Michelle Rempel Garner

Affiliation politique : Parti conservateur du Canada

Circonscription : Calgary Nose Hill (Alberta)

Élue en : 2011, 2015 et 2019

Rôle actuel : Porte parole en matière de santé

Expérience au sein de comités : Comité permanent de l'industrie, des sciences et de la technologie (2020), Comité permanent de la citoyenneté et de l'immigration (2016 à 2019), Comité permanent de l'environnement et du développement durable (2011 à 2013).

Biographie : Au sein du gouvernement, Mme Rempel Garner a occupé les fonctions de ministre d'État responsable de la Diversification de l'économie de l'Ouest et de secrétaire parlementaire du ministre de l'Environnement. Par le passé, elle s'est forgé une solide réputation en faisant la promotion efficace de partenariats de recherche novateurs avec les milieux universitaires et d'affaires à un poste de haute direction à l'Université de Calgary. Elle a également travaillé à la division de la commercialisation de la technologie de l'Université du Manitoba, où elle a contribué à l'administration des stratégies de commercialisation pour un portefeuille composé de plus de 200 technologies émergentes.

Auparavant, elle a été embauchée comme conseillère en gestion à Calgary, appliquant ses connaissances en gestion de la propriété intellectuelle dans un cadre de services professionnels dans les domaines de la planification stratégique, de la gestion de projet, de la restructuration des processus et de la commercialisation, où elle a acquis des compétences dans les secteurs de la santé et de l'éducation.

À l'âge de 18 ans, Mme Rempel Garner a travaillé au sein de la faculté de biochimie et de génétique médicale de l'Université du Manitoba. Elle a également contribué aux travaux d'administration des premiers brevets de propriété intellectuelle du respirateur de Winnipeg.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Lors d'un débat d'urgence le 26 janvier 2021, en prenant pour exemple l'Italie, qui envisage apparemment d'intenter une poursuite contre Pfizer en raison des retards de production, elle a affirmé : « Je me demande pourquoi le gouvernement fédéral ne dit rien. Quel recours le gouvernement fédéral a‑t‑il négocié avec Pfizer, et pourquoi ne choisit‑il pas de s'en prévaloir? »
  • Lors de la période de questions le 27 janvier 2021, elle a demandé si le premier ministre envisageait de poursuivre les entreprises qui ne livrent pas les vaccins comme prévu.
  • Lors de la période de questions du 26 janvier 2021, elle a posé la question suivante : « Si l'Union européenne interdit les exportations de vaccins, où le Canada pourra‑t‑il s'approvisionner? »
  • Lors de la période de questions le 27 octobre 2020, elle a exercé des pressions sur le gouvernement au sujet des contrats d'approvisionnement en vaccins : « Je vais poser la question encore une fois. La ministre pourrait‑elle confirmer qu'elle a accepté des contrats qui font en sorte que les Canadiens vont recevoir le vaccin contre la COVID‑19 au moins trois mois après les Américains? »
  • Lors de la période de questions le 26 octobre 2020, elle a interrogé la ministre de la Santé au sujet des preuves de l'efficacité de la fermeture des restaurants pour réduire la propagation de la COVID‑19 : « Pourquoi le nombre de cas augmente‑t‑il alors que nous portons des masques et que les restaurants sont fermés? Dans quelle mesure la fermeture des restaurants réduit‑elle vraiment la propagation de la COVID‑19? Sur quelles données se fonde‑t‑elle et a‑t‑elle fourni ces informations aux provinces? »
  • Lors de la période de questions le 7 octobre 2020, elle a pressé le premier ministre de lui répondre au sujet des tests de dépistage rapide : « Ma question est bien simple : combien de tests de dépistage le Canada recevra‑t‑il et quand les recevra‑t‑il? »
  • Lors de la période de questions à la Chambre des communes, le 6 octobre 2020, elle a interrogé la ministre de la Santé sur l'utilisation de tests de dépistage rapide pour éviter des mesures de quarantaine prolongées : « Pourquoi le premier ministre n'a‑t‑il pas de plan pour permettre aux gens de voir leurs proches grâce à l'utilisation des tests rapides, pour assurer la sécurité de nos collectivités? »
  • Lors de la période de questions le 6 octobre 2020, elle a exercé des pressions sur le gouvernement au sujet des tests de dépistage rapide : « Cette année, de nombreuses personnes ne seront pas en mesure de voyager ni de visiter des membres malades de leur famille, car elles n'ont pas les moyens de se placer en quarantaine. C'est la réalité vécue par de nombreuses personnes dans tout le pays, et la solution pourrait passer par l'accès aux tests rapides. Pourquoi le premier ministre n'a‑t‑il pas fourni cet outil afin d'atténuer les exigences de quarantaine? »
  • Le 5 octobre 2020, elle a écrit sur Twitter : « Nous avons besoin de tests rapides depuis deux mois. Où sont les tests rapides? » [traduction]
  • Le 3 octobre 2020, elle a écrit sur Twitter : « La ministre de la Santé de Justin Trudeau doit s'assurer que les fonctionnaires du gouvernement fédéral fournissent des renseignements clairs, concis et fondés sur des données probantes au sujet de la COVID‑19. Cette déclaration truffée de mots à la mode ne donne pas de directives précises. Mettez les choses au clair. »[traduction]
  • Lors de la période de questions le 2 octobre 2020, elle a exercé des pressions sur le gouvernement au sujet des mesures relatives aux tests de dépistage rapide : « Monsieur le Président, la deuxième vague de COVID‑19 est en train de devenir un tsunami parce que le premier ministre n'a rien fait pour que les Canadiens puissent se faire dépister rapidement. C'est insensé, car le secrétaire parlementaire de la ministre de la Santé a justement une entreprise qui fabrique des tests de dépistage rapide dans sa circonscription. C'est à n'y rien comprendre ».
  • « Notre pays est en pleine pandémie, et la politique de santé a des répercussions sur presque toutes les facettes de notre vie quotidienne. Qu'il s'agisse de protéger la santé et le bien‑être de tous les Canadiens, d'établir des lignes directrices qui déterminent si les Canadiens peuvent retourner au travail, des perspectives à long terme de l'économie canadienne, des enfants qui reçoivent une éducation ou de la réunification des familles avec des êtres chers, à l'heure actuelle, tous les chemins mènent à la santé ». (communiqué de presse, 8 septembre 2020; en anglais seulement) [traduction]
  • « J'ai hâte d'assumer ce rôle et d'appuyer Erin O'Toole dans la présentation d'un plan clair qui protégera les Canadiens tout en permettant aux gens de retourner au travail et à l'école et de reprendre les activités qu'ils chérissent, mais qu'ils ne peuvent faire à l'heure actuelle ». (communiqué de presse, 8 septembre 2020; en anglais seulement) [traduction]
  • Lors des réunions du Comité spécial sur la pandémie de la COVID‑19, elle a posé les questions suivantes aux ministres :
    • « […] il paraîtrait que le gouvernement du Canada conseille les Canadiens, du moins en partie, de manière à tranquilliser l'OMS et [par conséquent], le gouvernement chinois. Est‑ce que cela décrit bien la réalité? » (21 mai 2020)
    • « Combien de vies et d'emplois canadiens ont été perdus parce que le gouvernement a cru l'OMS en janvier dernier quand elle a déclaré qu'il n'y avait pas de preuve manifeste de la transmission du nouveau coronavirus entre humains? » (21 mai 2020)
    • « Combien de vies et d'emplois canadiens perdus peut‑on attribuer à la déclaration faite en janvier par la DreTam, qui assurait qu'il y aurait très peu de cas? » (21 mai 2020)
    • « Combien de vies et d'emplois canadiens a‑t‑on perdus à cause de l'opinion de la ministre, qui déclarait en mars que des mesures à la frontière étaient très peu efficaces ou qu'elles ne donnaient aucun résultat? » (21 mai 2020)
    • « Quand la ministre a déclaré à une conférence de presse qu'il était malheureux que la désinformation donne aux Canadiens une fausse idée de la réalité, faisait‑elle référence à ses propres conseils, à ceux du premier ministre et à ceux de la DreTam? » (21 mai 2020)
    • « Étant donné l'incapacité flagrante et fatale du gouvernement à fournir en temps opportun aux Canadiens des conseils avisés sur la COVID‑19, serait‑il juste de dire que les Canadiens devraient y réfléchir à deux fois avant de croire aveuglément le gouvernement lorsqu'il s'agit de mesures qui les privent de leurs libertés civiles, de leur sécurité et de leurs moyens de subsistance? » (21 mai 2020)
    • « Quelles quantités précisées d'équipement indispensable de protection individuelle — masques, blouses, écrans faciaux, gants et désinfectant pour les mains — l'industrie canadienne produit‑elle actuellement chaque jour?[…] Ce n'était pas une réponse à ma question. J'ai demandé combien de masques étaient fabriqués au Canada par rapport à la demande totale. Quelle est la différence en chiffres? Combien de masques susceptibles d'être défectueux [devons‑nous] importer, tant aujourd'hui que selon les projections en vue des efforts de réouverture provinciale? » (28 avril 2020)
  • Lors de la comparution des représentants devant le HESA le 14 avril 2020, elle a posé les questions suivantes :
    • « Est‑ce que le gouvernement ou un dirigeant à l'interne a demandé à votre ministère de contribuer à l'élaboration d'une stratégie de relance économique nationale qui serait menée par le gouvernement fédéral dans le cadre d'une approche structurée et qui comprendrait la levée graduelle et sécuritaire des mesures de confinement généralisé? »
    • « Est‑ce que le gouvernement ou un dirigeant à l'interne a demandé à votre ministère de formuler des recommandations quant aux problèmes de protection de la vie privée pouvant découler de l'utilisation des données personnalisées sur les résultats des tests et des efforts de recherche des contacts dans le cadre d'une stratégie devant permettre d'entreprendre la levée des consignes de confinement généralisé? »
    • « Êtes‑vous au fait de travaux qui auraient été menés par votre ministère ou de conseils qu'il aurait fournis au gouvernement quant aux solutions à mettre en œuvre pour minimiser les atteintes à la vie privée dans le contexte de la recherche des contacts? »
Établissements de soins de longue durée
  • Pendant la période de questions, elle a interrogé le ministre de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie au sujet des « conditions de vie déplorables » dans les résidences pour aînés en Colombie‑Britannique appartenant à l'entreprise chinoise Anbang Insurance Group Ltd. Elle a demandé au gouvernement d'examiner cette transaction pour veiller « sur le sort des aînés concernés ». (13 décembre 2019)
Recherche en santé
Interdiction de don de sang
  • Lors de la période de questions le 27 octobre 2020, elle a déclaré qu'elle aimerait que le gouvernement agisse urgemment pour mettre un terme à l'interdiction de don de sang : « Qu'a‑t‑on fait à cet égard? Cinq ans se sont écoulés ».
  • Dans son communiqué de presse du 8 septembre 2020[en anglais seulement], elle a affirmé qu'elle était impatiente de mettre fin à l'interdiction discriminatoire de don de sang au Canada.
Aide médicale à mourir
  • Au cours du débat sur le projet de loi C‑14, elle a mentionné que l'approche du gouvernement à l'égard de l'arrêt Carter était préoccupante parce que « sa réponse semble se baser pour une bonne part sur la perception que la Cour suprême a forcé le Parlement à établir un cadre pour l'aide médicale à mourir. »(2 mai 2016)
  • Elle a également déclaré que « le projet de loi, dans sa forme actuelle, laissera les assemblées législatives provinciales et les associations médicales se débattre avec des questions législatives non réglées, ce qui mènera à un ensemble incohérent de mesures et de processus dans ce domaine ». (2 mai 2016)
  • Mme Rempel Garner a émis d'autres préoccupations concernant l'aide médicale à mourir, notamment « qu'il était nécessaire d'étudier les questions liées à l'utilisation de directives préalables relatives à l'aide médicale à mourir, à la disponibilité de cette aide pour les mineurs matures et à la définition des conditions dans lesquelles l'aide médicale à mourir serait disponible à l'avenir au‑delà de la portée de l'arrêt Carter[et que] le projet de loi ne dit rien de la liberté de conscience des médecins et des établissements religieux de soins quant à l'obligation d'accorder une aide médicale à mourir » (2 mai 2016)

Sonia Sidhu

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Brampton Sud (Ontario)

Élue en : 2015 et 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé (HESA)

Expérience au sein de comités : Comité permanent de la santé (2016 à aujourd'hui), Comité permanent de la condition féminine (2018 et 2019), Comité spécial sur l'équité salariale (2016).

Biographie : Avant d'entrer en politique, Mme Sidhu a travaillé comme professionnelle de la santé pendant 18 ans. Elle est titulaire d'un baccalauréat en sciences politiques et a fait du bénévolat dans sa communauté, notamment au Centre de santé Trillium. Elle se passionne pour la sensibilisation au diabète et la prévention de la maladie, qu'elle appuie dans le cadre de son rôle de présidente du Caucus multipartite sur le diabète. Elle est secrétaire générale de l'Association parlementaire Canada Inde et membre exécutive des Groupes d'amitié parlementaires Canada Pologne et Canada Portugal.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Le 29 janvier 2020, lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le HESA, elle a demandé aux représentants :
    • Comment les personnes peuvent‑elles faire une autodéclaration?
    • Quels sont les protocoles si une personne présente des symptômes à son arrivée?
    • Comment procède l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) pour empêcher la propagation de la désinformation?
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada devant le HESA le 3 février 2020, elle a demandé de quelle façon les citoyens canadiens d'âge mineur dont les parents ne sont pas citoyens canadiens seront rapatriés.
  • Le 5 février 2020, lors de la comparution du ministère de la Défense nationale et de l'ASPC devant le HESA, elle a demandé de quelle façon les hôpitaux, qui sont au maximum de leur capacité, peuvent composer avec les cas de coronavirus.
Cancer
  • Elle a demandé à la ministre de la Santé ce que fait le gouvernement pour lutter contre le cancer (période de questions, 4 février 2019).
Diabète
  • Lors de la période de questions le 2 novembre 2020, elle a souligné le tout premier Mois de la sensibilisation au diabète au Canada et a fait pression pour l'établissement d'un cadre national : « Nous devons faire mieux, et il nous faut un cadre national. Le Canada a découvert l'insuline, alors pourquoi ne pourrait‑il pas aussi être un chef de file mondial dans le traitement du diabète? »
  • Le 19 février 2020, elle a présenté la motion M­33 visant à a) désigner le 14 novembre de chaque année la « Journée Frederick Banting »; b) reconnaître que (i) un Canadien sur quatre vit avec le prédiabète ou le diabète, maladie chronique qui peut entraîner des complications mortelles si elle n'est pas traitée, (ii) le Canada, lieu de découverte de l'insuline, une hormone qui joue un rôle important dans le contrôle du diabète depuis sa découverte par Frederick Banting, cherche à être un acteur de premier plan dans la promotion de la sensibilisation et de l'éducation au diabète. Mme Sidhu est vingtième dans l'ordre de préséance.
  • Elle a présenté la motion M‑173 visant à désigner le mois de novembre de chaque année comme Mois de la sensibilisation au diabète.
  • Dans une déclaration de députée le 10 décembre 2019, soulignant le Mois de la sensibilisation au diabète, elle a indiqué ce qui suit : « En unissant nos efforts, nous pouvons vaincre le diabète, améliorer la santé des Canadiens, et permettre à notre système de soins de santé d'économiser des milliards de dollars ». 
Alimentation
  • Elle a appuyé le projet de loi S‑228 (Loi sur la protection de la santé des enfants). Elle a indiqué le 12 décembre 2017 ce qui suit : « En tant que présidente du Caucus multipartite sur le diabète, je sais à quel point il est important de décourager les choix alimentaires malsains et d'encourager plutôt un mode de vie sain et actif ».
Aide médicale à mourir
  • Le 31 mai 2016, elle s'est prononcée en faveur du projet de loi C‑14. « Le cadre qui est décrit dans le projet de loi C‑14 prévoit un plan solide, précis et détaillé qui respectera la date butoir du 6 juin fixée par la Cour. Permettre l'aide médicale à mourir donnera aux malades en phase terminale qui y sont admissibles un plus grand contrôle sur la façon de vivre leurs derniers jours. Cette mesure législative comporte également d'importantes mesures de sauvegarde et limitations ».
Don d'organes et de tissus
  • Le 8 avril 2019, elle a présenté une déclaration de députée afin d'accroître la sensibilisation au sujet du don de moelle osseuse et du registre mondial de donneurs de moelle osseuse.

Luc Thériault

Affiliation politique : Bloc Québécois

Circonscription : Montcalm (Québec)

Élu en : 2015 et 2019

Rôle actuel : Second vice président du Comité permanent de la santé (HESA); porte parole en matière de santé et d'aide médicale à mourir; institutions démocratiques.

Expérience au sein de comités : Sans objet

Biographie : Il est titulaire d'un baccalauréat en philosophie et d'une maîtrise en philosophie politique de l'Université du Québec à Montréal. Il a été professeur de philosophie au Collège Maisonneuve de 1985 à 2003. Il a siégé au comité d'éthique du Centre hospitalier Maisonneuve Rosemont et du CHSLD Jeanne Le Ber de 2000 à 2003. Il a été élu comme député de l'Assemblée nationale du Québec (Parti Québécois) en 2003 et a été défait en 2007. Il a été leader parlementaire du Bloc Québécois de 2015 à 2019.

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Lors des récentes réunions du HESA, il a souligné l'importance d'obtenir une réponse de la part du gouvernement en ce qui concerne la distribution des vaccins et d'en faire une priorité pour les études.
  • Le 22 octobre 2020, lors du débat à l'étape de la deuxième lecture sur la motion portant production de documents au Comité permanent de la santé, il a exprimé plusieurs points d'intérêt :
    • l'ensemble du processus de dépistage;
    • le processus d'approvisionnement des vaccins et les conflits d'intérêts;
    • le Réseau mondial d'information en santé publique;
    • les transferts en santé;
    • la disponibilité des équipements de santé.
  • Lors de la période de questions le 25 février 2020, il a demandé à la ministre de la Santé si la préparation et la coordination fédérales étaient suffisantes pour lutter contre la COVID‑19 si celle‑ci devait devenir une pandémie au Canada.
  • Le 5 février 2020, lors de la comparution de l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) et du ministère de la Défense nationale devant le HESA, il a demandé :
    • Est‑ce que les passagers symptomatiques vont être dirigés vers les hôpitaux de Vancouver lors du ravitaillement?
    • Est‑ce que les personnes qui tombent malades à la base des Forces canadiennes Trenton vont être traitées sur place?
    • Pourquoi les résultats de laboratoires provinciaux doivent-ils être acheminés au Laboratoire national de microbiologie de Winnipeg?
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada devant le HESA le 3 février 2020, il a :
    • demandé quel était le nombre de ressortissants du Québec revenant de Chine et si ces personnes feront l'objet d'une surveillance;
    • indiqué ne pas croire que le gouvernement fédéral communiquait de façon efficace avec le gouvernement du Québec.
  • Lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le HESA le 29 janvier 2020, il a demandé aux représentants ce qui suit :
    • Est‑ce que des personnes ont été infectées à l'extérieur de la Chine?
    • Est‑ce qu'il est possible de fournir plus de détails au sujet du rapatriement des Canadiens de la Chine?
    • De quelle façon les personnes qui arrivent de la Chine font‑elles l'objet d'une surveillance lors de la période d'incubation?
    • Combien de temps cela prend‑il pour confirmer un cas?
  • Il a demandé au gouvernement si ce dernier pouvait informer la Chambre au sujet de son plan d'urgence pour l'éclosion du coronavirus et décrire ses mesures pour endiguer la propagation du virus.(27 janvier 2019 – période de questions)
Transferts en santé
  • Lors de la période de questions le 6 octobre 2020, il a critiqué la position du discours du Trône sur les transferts en santé : « […] pourquoi le gouvernement fait‑il la sourde oreille à la demande d'augmentation des transferts alors que 81 % des Québécois et 73 % des Canadiens veulent que le gouvernement augmente les transferts en santé et que tous les experts qui se sont présentés devant le comité nous ont dit que le sous‑financement chronique au cours des 25 dernières années a affaibli la capacité de nos systèmes de santé de composer avec cette pandémie? »
  • Lors de la période de questions le 6 octobre 2020, il a critiqué l'inaction du gouvernement libéral en ce qui concerne l'augmentation des transferts en santé pendant la pandémie de COVID‑19 : « Pourquoi les libéraux refusent‑ils d'augmenter les transferts en santé alors que nous faisons face à la pire pandémie en un siècle? »
  • Les 23, 24, 28 et 29 novembre et le 1eroctobre 2020, il a critiqué le peu d'attention accordé aux transferts en santé : « Ce dont ont besoin nos anges gardiens, c'est que le fédéral respecte sa parole et transfère l'argent nécessaire au Québec pour qu'il prenne soin de son monde. »
  • Le 4 février 2020, il a demandé à la ministre de la Santé lors de la période de questions si le gouvernement allait respecter la demande du Québec et augmenter les transferts en santé à la province.
  • Au cours de la dernière législature, il a déposé le projet de loi C‑300, Loi modifiant la Loi sur les arrangements fiscaux entre le gouvernement fédéral et les provinces (Transfert canadien en matière de santé). Thériault a souligné lors de sa présentation que le projet de loi « consiste à fixer le plancher de l'augmentation des transferts canadiens en matière de santé à 6 % annuellement, de façon à ce que le réinvestissement du gouvernement fédéral atteigne 25 % des dépenses totales du système de santé québécois, à la suite de quoi une révision pourrait être envisagée pour arrimer l'augmentation des transferts aux coûts de système. » (17 juin 2016)
  • Il a demandé à la ministre de « maintenir la hausse des transferts à 6 % sans condition, comme le demande unanimement l'Assemblée nationale du Québec. » (29 septembre 2016 – période de questions)
  • Il a décrit une diminution des transferts en santé comme « une attaque frontale contre le système de santé du Québec : il y a moins d'argent pour l'accès aux médecins, moins d'argent pour les infirmières et infirmiers et moins d'argent pour des soins et des opérations. » (27 septembre 2016 – période de questions)
  • « Il n'y a pas un gouvernement qui en a fait autant en si peu de temps pour nuire à la qualité des soins au Québec. Cela prend plus de 18 heures pour voir un médecin à l'urgence, cela prend six mois pour avoir un rendez‑vous, et la ministre essaie de nous faire croire que la solution c'est de couper. » (20 septembre 2016 – période de questions)
  • Il a demandé à plusieurs reprises à la ministre de « satisfaire la demande unanime du Québec et des provinces et d'augmenter les transferts en santé » tout en laissant au Québec l'indépendance de gérer son propre système de santé. (6 et 9 décembre 2019 – période de questions)
  • « Je voudrais qu'on puisse maintenir l'augmentation des transferts en santé à 6 %, laisser les provinces décider où les besoins se font sentir et monter jusqu'à 25 %. Cela serait acceptable, parce que le Québec est capable de gérer son secteur de la santé. »(26 janvier 2016 – allocution en réponse au discours du Trône)
Aide médicale à mourir
  • Le 27 février 2020, lors du débat à l'étape de la deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a critiqué la façon dont la loi définissait les critères d'admissibilité : « La ministre dit que des praticiens sont capables de percevoir que des personnes atteintes d'Alzheimer, qui semblaient au départ favorables à l'aide médicale à mourir, auraient changé d'avis en cours de route. S'ils sont capables de percevoir que ces personnes ont changé d'avis en cours de route, pourquoi ne sont‑elles pas admissibles, comme Mme Gladu et M. Truchon? » Lors de ce débat, il a de nouveau mis l'accent sur la question de l'admissibilité en indiquant que : « Le patient qui la demande le fait par choix. Il faut qu'il y ait ce choix et, pour avoir ce choix, il faut des options. »
  • Le 27 février 2020, lors du débat à l'étape de la deuxième lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a établi le lien suivant entre les soins palliatifs et l'aide médicale à mourir : « N'est‑il pas d'accord qu'une des solutions pour augmenter la disponibilité et l'accessibilité des soins palliatifs pour les personnes qui en ont besoin, mais qui ne seraient pas soulagées par de bons soins palliatifs, serait l'accès à l'aide médicale à mourir? »
  • Le 26 février 2020, lors du débat à l'étape de la première lecture du projet de loi C‑7 (Aide médicale à mourir), il a indiqué ce qui suit : « Je suis tout à fait ravi que le gouvernement ait été assez prudent pour exclure le fait d'étendre l'aide médicale à mourir aux personnes souffrant de maladies mentales. Toutefois, le problème n'est pas résolu. Lorsqu'une personne, après des années de traitements curatifs, souffre au point d'envisager la mort comme seul soulagement, c'est un constat d'échec pour le corps médical sur le plan de la santé mentale. Il n'y a pas de soins palliatifs en santé mentale ».
  • Il a déposé un avis de motion lors du HESA le 19 février 2020 demandant à ce que le Comité « entreprenne une étude afin d'examiner pourquoi il serait ou pas opportun d'étendre l'Aide médicale à mourir aux patients souffrants de troubles mentaux ».
  • Il a déposé un avis de motion lors du HESA le 19 février 2020 demandant à ce que le Comité «entreprenne une étude comparative entre le Canada et les pays offrant des services de soins palliatifs et d'aide médicale à mourir, notamment en ce qui a trait à leur disponibilité et leur accessibilité. » Après le débat, la motion a été retirée. Toutefois, lors du débat, il a souligné la nécessité d'offrir des soins palliatifs de qualité aux personnes qui souhaitent bénéficier de tels soins.
  • Il a proposé un amendement au projet de loi C‑14, Loi modifiant le Code criminel et apportant des modifications connexes à d'autres lois (aide médicale à mourir), qui aurait éliminé la notion de «mort naturelle raisonnablement prévisible ». Il a déclaré que cela est « inhumain qu'une personne vulnérable et souffrante doive faire une grève de la faim pour être admissible à l'aide médicale à mourir. Les gens qui souffrent méritent des balises claires pour une offre de soins de fin de vie efficace. » (30 mai 2019 – communiqué de presse)
  • Il a déclaré que le projet de loi C‑14 « aurait été modifié et considéré inconstitutionnel » et a ajouté « j'imagine d'ailleurs que c'est la raison pour laquelle on ne l'a pas déposé devant la Cour suprême. » [16 juin 2016 — débat sur le projet de loi C‑14, Loi modifiant le Code criminel et apportant des modifications connexes à d'autres lois (aide médicale à mourir)]
  • « Pourquoi la ministre de la Justice s'entête‑t‑elle à retirer le droit à l'autodétermination des personnes les plus vulnérables de notre société, précisément celles qui sont atteintes d'une maladie, d'une affection ou d'un handicap grave et irrémédiable qui les fait souffrir de manière intolérable? » (9 juin 2016 – période de questions)
  • « Tout le monde considère que la loi québécoise est bien équilibrée. Bien sûr, pour les soins de fin de vie, il y a là quelque chose d'assez solide qui fait l'objet d'un consensus depuis presque six ans. Toutefois, cette loi‑là ne règle pas le problème du suicide assisté. Ce projet de loi et cette loi, présentement, ne s'appliquent pas à la situation de Kay Carter. À cet égard, il faut respecter l'arrêt de la Cour suprême, dont les critères ne sont pas ceux que l'on retrouve dans le projet de loi. C'est trop restrictif. » [17 mai 2016 – débat sur le projet de loi C‑14, Loi modifiant le Code criminel et apportant des modifications connexes à d'autres lois (aide médicale à mourir)]
  • « Je parle des soins palliatifs tels qu'ils devraient être. Il ne s'agit pas de mettre le malade dans un lit, dans un corridor, où on le laisse mourir. Il s'agit de soins globaux d'accompagnement. Cela prend un personnel spécialisé et un contrôle adéquat de la douleur, ce qui parfois n'était pas permis. En effet, les gens ne donnaient pas les doses nécessaires, car ils pensaient qu'elles pouvaient entraîner la mort. Or, le Québec a réglé cela. La province a réglé la question des soins de fin de vie en soins palliatifs. Les soins de santé sont de compétence provinciale et le Québec est un chef de file en la matière. Je pense qu'il faudrait introduire dans ce projet de loi une disposition d'équivalence pour que la loi fédérale ne puisse pas créer de dédoublements et ainsi changer l'économie interne de la loi québécoise. » [3 mai 2016 — débat sur le projet de loi C‑14, Loi modifiant le Code criminel et apportant des modifications connexes à d'autres lois (aide médicale à mourir)]
  • Il a indiqué que l'aide médicale à mourir devrait être une priorité pour ce Parlement et que le Bloc Québécois collaborera pour que cette fois‑ci le projet de loi aboutisse aux résultats escomptés. (12 décembre 2019)
Boissons alcoolisées mélangées
  • Lors de la période de questions le 5 octobre 2020, il a souligné le travail d'Éduc'alcool : « Nous pouvons être fiers du chemin parcouru; de beaux progrès qui ne doivent pas nous faire oublier qu'il y a encore de gros défis liés à la consommation d'alcool. »
  • Ces défis, du haut de ses 30 ans, Éduc'alcool va y travailler et notamment contribuer à mettre fin aux violences familiales, sexuelles et conjugales sous l'effet de l'alcool, et, aussi, tendre à éliminer la conduite avec les facultés affaiblies.
  • Il a demandé à la ministre de la Santé de suspendre la vente des boissons sucrées à haute teneur en alcool pendant que la nouvelle réglementation est rédigée et mise en place. (20 mars 2018 – période de questions)
  • « […] la ministre de la Santé va‑t‑elle aussi se pencher sur l'interdiction de la guaranine dans ces boissons alcoolisées? » (19 mars 2018 – période de questions)
Opioïdes et drogues
  • « […] dans le cadre d'une crise aussi importante et sans précédent que celle du fentanyl et du carfentanil, l'approche de réduction des méfaits, toute proportion gardée, a montré une efficacité beaucoup plus grande qu'une approche coercitive ». (15 mai 2017 — débat sur le projet de loi C‑37, Loi modifiant la Loi réglementant certaines drogues et autres substances et apportant des modifications connexes à d'autres lois)
Produits de consommation
  • Il a déposé une pétition demandant à la ministre de la Santé de rendre obligatoire l'affichage des ingrédients sur les produits d'entretien ménager en s'inspirant de la réglementation sur l'affichage des produits cosmétiques. (9 juin 2017 — pétition 421­01483)
Cannabis
  • Il a appuyé la demande du gouvernement du Québec visant à ce que la légalisation du cannabis entre en vigueur le 1er juillet (18 octobre 2018 — question de privilège)
  • Il a demandé « en quoi le crime organisé va‑t‑il être tassé par » la légalisation du cannabis. (21 novembre 2017 — débat sur le projet de loi C-45, Loi sur le cannabis)

Tony van Bynen

Affiliation politique : Parti libéral du Canada

Circonscription : Newmarket—Aurora (Ontario)

Élu en : 2019

Rôle actuel : Membre du Comité permanent de la santé

Expérience au sein de comités : Aucune

Biographie : Avant d'entrer en politique, il a eu une carrière de 30 ans dans le secteur bancaire en tant que directeur de succursale. Il a été élu conseiller municipal de Newmarket en 2000, et a occupé le poste de maire de Newmarket de 2006 à 2018.

Lui et sa femme sont bénévoles à l'hôpital Southlake depuis plus de dix ans. À titre de maire de Newmarket, il a également fait partie du conseil d'administration du Southlake Regional Healthcare Centre et a contribué à la création du Belinda's Place, un centre polyvalent pour les femmes sans abri et à risque

Intérêts du membre

Coronavirus (COVID‑19)
  • Le 22 octobre 2020, lors du débat à l'étape de la deuxième lecture sur la motion portant production de documents au Comité permanent de la santé, il n'a pas appuyé la motion et a exprimé des préoccupations sur le trop grand nombre de priorités : «[…] si nous établissons de trop nombreux objectifs, 16 en l'occurrence, nous n'en réaliserons aucun. » (22 octobre 2020)
  • Lors de la période de questions le 20 octobre 2020, il a exprimé des préoccupations quant aux répercussions de la pandémie de COVID‑19 sur la santé mentale : « La crise de santé mentale qui secoue actuellement le Canada est ni plus ni moins qu'une pandémie silencieuse pour laquelle il n'y a pas de vaccin. Les professionnels de la santé multiplient les avertissements et les conseils, mais les gens qui habitent dans ma circonscription sont inquiets et ils viennent m'en parler ».
  • Le 29 janvier 2020, lors de la comparution du portefeuille de la Santé devant le HESA, il a posé des questions aux représentants sur les sujets suivants:
    • La façon dont le Canada réagirait si l'OMS déclarait une urgence de santé publique de portée internationale.
    • La façon dont l'Agence de la santé publique du Canada collabore avec les administrations locales.
    • Les améliorations apportées depuis le SRAS.
  • Lors de la comparution d'Affaires mondiales Canada, de Transports Canada, de Sécurité publique Canada et de l'Agence des services frontaliers du Canada devant le HESA le 3 février 2020, il a demandé dans quelle mesure les avions étaient désinfectés.
  • Lors de la comparution de l'Agence de la santé publique du Canada et du ministère de la Défense devant le HESA le 5 février 2020, il a demandé de quelle façon les députés pouvaient s'attaquer à la désinformation en ligne.
Financement des soins de santé
  • Lorsqu'on lui a demandé, lors d'une entrevue accordée au Newmarket Today, d'expliquer sa position sur les questions de santé, il a dit : « Nous n'avons pas besoin de chercher bien loin pour voir quelles ont été les répercussions des compressions dans les soins de santé ici en Ontario […]. Je siège au conseil d'administration de l'hôpital (Southlake) depuis neuf ans. Je comprends et je crois sincèrement que les hôpitaux travaillent dur pour être aussi efficaces que possible, et quand vous réduisez le financement des hôpitaux et du régime d'assurance‑maladie, vous coupez dans l'os, vous ne coupez pas seulement dans le gras. C'est l'une de mes préoccupations. » (Newmarket Today, le 26 septembre 2019)
Santé mentale
  • Le 7 octobre 2020, il a soumis une motion au HESA proposant que ce dernier étudie les effets de la COVID‑19 sur la santé mentale et le bien‑être des Canadiens: « Les répercussions personnelles, sociales et économiques de la COVID‑19 sur la santé mentale et le bien‑être des Canadiens sont sans précédent. Bon nombre d'experts nous signalent qu'il s'agira de la "deuxième pandémie" et que des mesures doivent être prises ». [traduction]

Détails de la page

Date de modification :